Dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis qui vaut à Karim Wade un séjour en prison depuis bientôt six (6) mois, ses avocats n’ont pas dit leur dernier mot.
Mes Ciré Clédor LY, Demba Ciré Bathily, Seydou Diagne et Amadou Sall qui ont jusqu’au 20 septembre pour réagir par rapport à la seconde mise en demeure servi à leur client par le procureur spécial Alioune suite à la découverte de 98 milliards planqués dans une trentaine de comptes en banque à Monaco, concoctent un plan pour faire s’écrouler comme un château de cartes ce qu’ils nomment « machination et d’acrobatie juridique ».
En effet, réagissant par rapport à cette évolution du dossier de leur client, le quatuor défensif de Wade-fils en conférence de presse tenu vendredi dernier peu après la décision du procureur spécial, étaient monté au créneau pour juger « illégitime et illégale » la dite mise eu demeure avant d’annoncer que le « combat » allait « continuer ».
En plein dans la bataille juridique, le président de la CI de la CREI, Cheikh Tidiane Beye recevra dans les prochaines heures une requête aux fins de contre-expertise de « l’expert qui a été désigné pour fouiner dans les comptes bancaires de Monaco » renseigne un proche du dossier qui ne manque pas préciser sur les colonnes du journal « l’as » qu’ « entre la remise du rapport par le Parquet spécial et la notification de la mise en demeure, il ne s’est écoulé que 48 heures. En si peu de temps, ni Karim ni ses conseils n’ont eu le temps d’apporter des éléments de réponses aux accusations contenues dans le fameux rapport. Les droits de la défense n’ont pas été respectés car le rapport n’était pas contradictoire ».
Mes Ciré Clédor LY, Demba Ciré Bathily, Seydou Diagne et Amadou Sall qui ont jusqu’au 20 septembre pour réagir par rapport à la seconde mise en demeure servi à leur client par le procureur spécial Alioune suite à la découverte de 98 milliards planqués dans une trentaine de comptes en banque à Monaco, concoctent un plan pour faire s’écrouler comme un château de cartes ce qu’ils nomment « machination et d’acrobatie juridique ».
En effet, réagissant par rapport à cette évolution du dossier de leur client, le quatuor défensif de Wade-fils en conférence de presse tenu vendredi dernier peu après la décision du procureur spécial, étaient monté au créneau pour juger « illégitime et illégale » la dite mise eu demeure avant d’annoncer que le « combat » allait « continuer ».
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