
L’affaire des deux enfants égorgés à Touba, le 27 septembre dernier, continue à livrer ses secrets. Bara Touré, père des deux victimes et non moins présumé auteur de ce crime, aurait tué ses enfants pour un sacrifice humain. Dans son édition de ce mercredi, Libération donne les détails de l’honneur raconté par le présumé meurtre.
« Une force surnaturelle m'a recommandé de les tuer. C'était plus fort que moi et je n'ai pas hésité », révélé Bara Touré aux enquêteurs. Ces derniers qui croient formellement qu’il s’agit d’un crime rituel, ont écarté la thèse de la vengeance contre ses deux femmes, mères des deux enfants, évoquée par certains témoignages.
En effet, les limiers ont découvert, au cours d’une perquisition effectuée dans la chambre du présumé auteur, un arsenal de mystique dont trois (3) têtes de chat cachées dans un coin de son armoire.
Les enquêteurs ont aussi découvert qu’après avoir tué ses deux enfants en plein sommeil dans leur chambre, Bara a également recueilli leur sang leur sang pour le mélanger avec celui du chat et du chien avant de prendre un bain mystique dans la maison en construction.
Interrogé sur ce fait, Bara déclare qu’il n’avait pas tous ses esprits au moment des faits. « Je ne sais pas ce qui m'a pris. Si je le savais, j'allais vous le dire », persiste et signe le sieur Touré qui a tenté de se suicider deux jours après le drame.
Les résultats de l’autopsie avaient fait état « d’une mort causée par une plaie traumatique horizontale à deux angles aigus, cervicale antérieure mesurant 7x4cm de diamètre (pour Serigne Mbacké Touré) et 8,5x5 de diamètre (pour Mame Daouda Touré), avec section des organes du cou et de rachis à la suite de coups et blessures par un objet tranchant ». Ce qui renforce les doutes sur le crime rituel.
Cueilli, mardi dernier, au domicile d’un de ses amis, sur la route de Darou-Rahmane, Bara Touré est déféré au parquet. Il a été perdu par les résultats des analyses des indices effectués par un laboratoire qui se trouve à Bordeaux, en France.
« Une force surnaturelle m'a recommandé de les tuer. C'était plus fort que moi et je n'ai pas hésité », révélé Bara Touré aux enquêteurs. Ces derniers qui croient formellement qu’il s’agit d’un crime rituel, ont écarté la thèse de la vengeance contre ses deux femmes, mères des deux enfants, évoquée par certains témoignages.
En effet, les limiers ont découvert, au cours d’une perquisition effectuée dans la chambre du présumé auteur, un arsenal de mystique dont trois (3) têtes de chat cachées dans un coin de son armoire.
Les enquêteurs ont aussi découvert qu’après avoir tué ses deux enfants en plein sommeil dans leur chambre, Bara a également recueilli leur sang leur sang pour le mélanger avec celui du chat et du chien avant de prendre un bain mystique dans la maison en construction.
Interrogé sur ce fait, Bara déclare qu’il n’avait pas tous ses esprits au moment des faits. « Je ne sais pas ce qui m'a pris. Si je le savais, j'allais vous le dire », persiste et signe le sieur Touré qui a tenté de se suicider deux jours après le drame.
Les résultats de l’autopsie avaient fait état « d’une mort causée par une plaie traumatique horizontale à deux angles aigus, cervicale antérieure mesurant 7x4cm de diamètre (pour Serigne Mbacké Touré) et 8,5x5 de diamètre (pour Mame Daouda Touré), avec section des organes du cou et de rachis à la suite de coups et blessures par un objet tranchant ». Ce qui renforce les doutes sur le crime rituel.
Cueilli, mardi dernier, au domicile d’un de ses amis, sur la route de Darou-Rahmane, Bara Touré est déféré au parquet. Il a été perdu par les résultats des analyses des indices effectués par un laboratoire qui se trouve à Bordeaux, en France.
Autres articles
-
Thiaroye : six (6) individus arrêtés pour diffusion d’une sextape et chantage sexuel
-
Un luxe que le Sénégal ne peut s’offrir (Par Sidy DIOP)
-
Le diocèse de Saint-Louis accueille son nouvel évêque, Mgr Augustin Simmel Ndiaye
-
Éducation : Djiby Gueye, premier déficient visuel admis au baccalauréat dans l’académie de Saint-Louis
-
Affaire Badara Gadiaga : GSIE TECHNOLOGY dément tout lien avec le chroniqueur et menace de poursuites