Suite à l’annonce du Premier ministre Ousmane Sonko sur la volonté d’interdire les financements étrangers à destination de la société civile, le Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine (FRAPP) a tenu à apporter des clarifications.
Dans un communiqué, le mouvement affirme qu’il ne dépend d’aucune aide extérieure. « Le FRAPP ne vit que des cotisations de ses membres. Nous n’attendons ni projets, ni subventions, ni faveurs », a déclaré le Secrétariat Exécutif National du mouvement.
Le FRAPP affirme que le vrai sujet, ce n’est pas juste l’argent. « Le vrai sujet, c’est la place de la société civile dans notre démocratie », souligne le communiqué. Le mouvement estime qu’un « peuple digne ne peut avancer sans vigie citoyenne, sans voix libres, sans structures qui portent ses colères, ses espoirs et ses exigences ».
A ce titre, le mouvement précise que la « société civile ne doit pas être réduite à des ONG qui « quémandent des financements ou qui exécutent des projets conçus ailleurs ». « Elle est, quand elle est enracinée dans le peuple, un outil de lutte, d’organisation, de conscientisation », martèle l’organisation.
Enfin, le FRAPP appelle à bâtir une société civile forte et souveraine qui permet selon lui, de créer un cadre permanent de dialogue entre les citoyens et les gouvernants. « Elle permet d’élever le niveau du débat public et renverser le rapport de force entre les élus et le peuple », conclut le mouvement.
Dans un communiqué, le mouvement affirme qu’il ne dépend d’aucune aide extérieure. « Le FRAPP ne vit que des cotisations de ses membres. Nous n’attendons ni projets, ni subventions, ni faveurs », a déclaré le Secrétariat Exécutif National du mouvement.
Le FRAPP affirme que le vrai sujet, ce n’est pas juste l’argent. « Le vrai sujet, c’est la place de la société civile dans notre démocratie », souligne le communiqué. Le mouvement estime qu’un « peuple digne ne peut avancer sans vigie citoyenne, sans voix libres, sans structures qui portent ses colères, ses espoirs et ses exigences ».
A ce titre, le mouvement précise que la « société civile ne doit pas être réduite à des ONG qui « quémandent des financements ou qui exécutent des projets conçus ailleurs ». « Elle est, quand elle est enracinée dans le peuple, un outil de lutte, d’organisation, de conscientisation », martèle l’organisation.
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