Le discours sur l’état de la Nation a été accueilli positivement par de nombreux Sud-africains qui saluent, d’abord, la forme de cette intervention sur les réseaux sociaux.
La jovialité de Cyril Ramaphosa a particulièrement séduit, tout comme ses interactions avec l’opposition. Une situation bien inhabituelle en Afrique du Sud.
Du côté de l’opposition, les promesses du nouveau président de la république sont reçues avec plus de précaution. Julius Malema a néanmoins salué certaines annonces.
« Nous sommes favorables à l’expropriation des terres sans compensation et nous saluons la réduction de la taille du gouvernement. De cela, nous sommes satisfaits. Nous saluons aussi sa prise de position sur l’indépendance de la police anti-corruption. Il faut qu’il fasse arrêter ses collègues, ce sont eux les corrompus », a-t-il déclaré.
Julius Malema estime pourtant que Cyril Ramaphosa n’a pas « de plan réel » pour mettre en œuvre son programme. Cette opinion est partagée par Mmusi Maimane, chef de file de l’Alliance Démocratique.
« Son discours allait souvent dans le sens du programme mis en place sous l’administration de Monsieur Zuma. Il a annoncé un grand nombre de sommets alors que les Sud-africains ont besoin d’une mise en œuvre ferme et immédiate », a-t-il souligné.
La nomination du futur gouvernement est maintenant très attendue en Afrique du Sud.
La jovialité de Cyril Ramaphosa a particulièrement séduit, tout comme ses interactions avec l’opposition. Une situation bien inhabituelle en Afrique du Sud.
Du côté de l’opposition, les promesses du nouveau président de la république sont reçues avec plus de précaution. Julius Malema a néanmoins salué certaines annonces.
« Nous sommes favorables à l’expropriation des terres sans compensation et nous saluons la réduction de la taille du gouvernement. De cela, nous sommes satisfaits. Nous saluons aussi sa prise de position sur l’indépendance de la police anti-corruption. Il faut qu’il fasse arrêter ses collègues, ce sont eux les corrompus », a-t-il déclaré.
Julius Malema estime pourtant que Cyril Ramaphosa n’a pas « de plan réel » pour mettre en œuvre son programme. Cette opinion est partagée par Mmusi Maimane, chef de file de l’Alliance Démocratique.
« Son discours allait souvent dans le sens du programme mis en place sous l’administration de Monsieur Zuma. Il a annoncé un grand nombre de sommets alors que les Sud-africains ont besoin d’une mise en œuvre ferme et immédiate », a-t-il souligné.
La nomination du futur gouvernement est maintenant très attendue en Afrique du Sud.
Autres articles
-
Tchad: la coalition «Nous le Peuple» demande le report de la présidentielle
-
Présidentielle 2024: la CEDEAO compte envoyer une délégation de 130 observateurs au Sénégal
-
Guinée : limogeage des directeurs généraux des sociétés d’électricité et des pétroles
-
Burkina: Le président Traoré signe un décret pour récompenser les dénonciateurs des faits avérés de corruption
-
Un bilan mitigé pour les 30 ans de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale