Selon un communiqué de la section Excaf du Synpics, "en marge d'une activité organisée par les associations de personnes vivant avec un handicap, le jeudi 28 Juillet 2022, à Guédiawaye, le maire de cette ville et ses gardes du corps se sont attaqués à l'intégrité physique de Monsieur Birame Sène, journaliste, correspondant du Groupe Excaf Télécom dans la banlieue dakaroise"
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, le Synpics-Excaf raconte que "le Maire de Guediawaye qui a refusé de s'adresser à la presse locale après sa sortie d'audition avec les membres des associations précitées, a subitement attaqué les correspondants de presse qui étaient venus couvrir la manifestation. Ahmeth Aidara pris par une colère noire, s'en est pris aux professionnels des médias présents en leur jetant sur la figure des propos aigre-doux avant de s'en prendre personnellement à notre collègue, Birame Sène".
Ainsi, la section SYNPICS du Groupe Excaf Télécom, considère cette attitude comme une atteinte à l'intégrité physique et morale de notre collègue. Toutefois, nous rappelons à Monsieur Aidara que l'autorité qu'il incarne ne lui confère aucunement le droit d'exercer une quelconque violence sur les journalistes. Quel paradoxe pour une personne qui s'est toujours levé pour condamner toute forme de violence exercée sur la presse".
Aussi, la section SYNPICS du Groupe Excaf Télécom "se réserve le droit de saisir qui de droit pour atteinte à la liberté de presse, à l'intégrité physique et morale du journaliste".
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, le Synpics-Excaf raconte que "le Maire de Guediawaye qui a refusé de s'adresser à la presse locale après sa sortie d'audition avec les membres des associations précitées, a subitement attaqué les correspondants de presse qui étaient venus couvrir la manifestation. Ahmeth Aidara pris par une colère noire, s'en est pris aux professionnels des médias présents en leur jetant sur la figure des propos aigre-doux avant de s'en prendre personnellement à notre collègue, Birame Sène".
Ainsi, la section SYNPICS du Groupe Excaf Télécom, considère cette attitude comme une atteinte à l'intégrité physique et morale de notre collègue. Toutefois, nous rappelons à Monsieur Aidara que l'autorité qu'il incarne ne lui confère aucunement le droit d'exercer une quelconque violence sur les journalistes. Quel paradoxe pour une personne qui s'est toujours levé pour condamner toute forme de violence exercée sur la presse".
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