L’ancien ministre de l’Elevage ne comprend pas le tollé soulevé par la fronde de mise dans certains partis politiques à l’instar du PDS et Rewmi. «Il n’y a rien d’extraordinaire dans ce qui se passe», came Sangué Mballo qui parle d’ «évolution normale des partis politiques ». Selon lui, «quand un parti politique est créé, l’objectif principal, c’est la conquête du pouvoir. Maintenant, chacun a sa manière de s’organiser, à l’intérieur, il y a des structures, de l’animation et c’est normal qu’en un moment donné que ceux qui étaient là depuis des années se voient un peu bousculer, harceler par des générations qui montent ».
«Je trouve cela tout à fait normal, il n’y a rien de bizarre », minimise-t-il. Mais dit-il: «Il faut reconnaître que le Parti Socialiste (PS) n’appartient à personne. Senghor l’a créé, Abdou Diouf est venu, il l’a contrôlé et aujourd’hui, c’est Tanor et demain, ce sera un autre ». Pour Sangué Mballo, «c’est différent de beauoup d’autres partis politiques comme le PDS qui appartient à une personne, l’AFP (Alliance des Forces de Progrès), l’URD (Union pour le Renouveau Démocratique) ». En ce qui concerne le parti présidentiel, l’Alliance Pour la République (APR), « ce parti est jeune, il n’est pas encore structuré mais il arrivera un moment où il faudra le structurer, de procéder à l’installation officielle et de manière démocratique des dirigeants », préconise ce dernier.
L’ancien ministre est formel : «Aïssata Tall a le droit d’avoir une ambition politique, elle l’exprime ». D’autant plus marque-t-il : «Au PS, on fait souvent des renouvellements des structures à la base et chacun est libre de se porter candidat au poste qu’il veut. C’est ce qu’elle a fait ». Mais le constat est là selon lui : «C’est peut-être difficile quand on est à Dakar…mais je suis un homme de la brousse…Ce que j’ai constaté car je vais souvent à la base, chez moi à Vélingara, Kolda, etc. Et je vois des réactions très très positives par rapport à l’action du président Sall. Avec ce que j’ai vu là-bas, il passera au premier tour.
Et d’une manière générale, un peu partout en Casamance y compris Ziguinchor par rapport à ce qu’il a fait ». Sangué Mballo qui met en exergue le « désenclavement de la zone avec les bateaux, l’installation du pôle de développement de la Casamance, les 23 milliards », de dire que «les populations trouvent que c’est un bon départ ». Et cela la défaite dans la capitale du Sud lors des dernières élections locales n’y change rien, assure l’ancien ministre de lancer que «ce n’est pas parce qu’à Ziguinchor, nos représentants ont été battus ». «Ziguinchor ne représente pas toute la Casamance naturelle qui va d’Oussouye à Vélingara. Il y a trois (3) départements : la zone de Ziguinchor, Sédhiou et la zone de Kolda. C’est cet ensemble qui constitue la Casamance », clôt-il.
«Je trouve cela tout à fait normal, il n’y a rien de bizarre », minimise-t-il. Mais dit-il: «Il faut reconnaître que le Parti Socialiste (PS) n’appartient à personne. Senghor l’a créé, Abdou Diouf est venu, il l’a contrôlé et aujourd’hui, c’est Tanor et demain, ce sera un autre ». Pour Sangué Mballo, «c’est différent de beauoup d’autres partis politiques comme le PDS qui appartient à une personne, l’AFP (Alliance des Forces de Progrès), l’URD (Union pour le Renouveau Démocratique) ». En ce qui concerne le parti présidentiel, l’Alliance Pour la République (APR), « ce parti est jeune, il n’est pas encore structuré mais il arrivera un moment où il faudra le structurer, de procéder à l’installation officielle et de manière démocratique des dirigeants », préconise ce dernier.
L’ancien ministre est formel : «Aïssata Tall a le droit d’avoir une ambition politique, elle l’exprime ». D’autant plus marque-t-il : «Au PS, on fait souvent des renouvellements des structures à la base et chacun est libre de se porter candidat au poste qu’il veut. C’est ce qu’elle a fait ». Mais le constat est là selon lui : «C’est peut-être difficile quand on est à Dakar…mais je suis un homme de la brousse…Ce que j’ai constaté car je vais souvent à la base, chez moi à Vélingara, Kolda, etc. Et je vois des réactions très très positives par rapport à l’action du président Sall. Avec ce que j’ai vu là-bas, il passera au premier tour.
Et d’une manière générale, un peu partout en Casamance y compris Ziguinchor par rapport à ce qu’il a fait ». Sangué Mballo qui met en exergue le « désenclavement de la zone avec les bateaux, l’installation du pôle de développement de la Casamance, les 23 milliards », de dire que «les populations trouvent que c’est un bon départ ». Et cela la défaite dans la capitale du Sud lors des dernières élections locales n’y change rien, assure l’ancien ministre de lancer que «ce n’est pas parce qu’à Ziguinchor, nos représentants ont été battus ». «Ziguinchor ne représente pas toute la Casamance naturelle qui va d’Oussouye à Vélingara. Il y a trois (3) départements : la zone de Ziguinchor, Sédhiou et la zone de Kolda. C’est cet ensemble qui constitue la Casamance », clôt-il.
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