Organisée à l'initiative de l'Algérie, cette rencontre s'inscrivait dans le cadre des efforts des voisins de la Libye, qui veulent participer à la recherche d'une solution politique au conflit. Ce sont les premiers impactés par les retombés de cette crise.
« Cette réunion n'est pas un mécanisme, mais plutôt une concertation pour se coordonner et faire entendre la voix des pays voisins », a précisé Sabri Boukadoum, le ministre algérien des Affaires étrangères devant ses homologues tunisien, égyptien, tchadien et malien. Des diplomates du Soudan et du Niger étaient également présents.
Sabri Boukadoum a réaffirmé l'attachement de l'Algérie à la nécessité d'encourager les deux parties à régler leur crise, par le dialogue et loin de toute ingérence étrangère. Selon l'agence de presse algérienne, la réunion a également appelé à appliquer l'embargo sur les armes, et à accélérer le processus politique qui mettra fin à la guerre en Libye.
La diplomatie algérienne est plus active que jamais sur ce dossier. Alger s'était dite prête lundi a accueillir un « dialogue » entre les acteurs du conflit afin d'accompagner les Libyens dans la redynamisation du processus politique et d'un dialogue inclusif. Ce nouveau rendez-vous fait suite aux efforts diplomatiques déjà fournis à Moscou, puis à Berlin, pour transformer la trêve observée à Tripoli, depuis dix jours, en un cessez-le-feu.
Plusieurs pays africains s'étaient plaints d'avoir été tenus à l'écart du processus dit de Berlin, où promesse a été faite de respecter un embargo sur les armes et de ne plus interférer dans les affaires libyennes. Les conséquences de cet engagement sur le terrain restent cependant incertaines, les deux rivaux directs, Fayez al-Sarraj et Khalifa Haftar, ayant refusé de se rencontrer dans la capitale allemande.
« Cette réunion n'est pas un mécanisme, mais plutôt une concertation pour se coordonner et faire entendre la voix des pays voisins », a précisé Sabri Boukadoum, le ministre algérien des Affaires étrangères devant ses homologues tunisien, égyptien, tchadien et malien. Des diplomates du Soudan et du Niger étaient également présents.
Sabri Boukadoum a réaffirmé l'attachement de l'Algérie à la nécessité d'encourager les deux parties à régler leur crise, par le dialogue et loin de toute ingérence étrangère. Selon l'agence de presse algérienne, la réunion a également appelé à appliquer l'embargo sur les armes, et à accélérer le processus politique qui mettra fin à la guerre en Libye.
La diplomatie algérienne est plus active que jamais sur ce dossier. Alger s'était dite prête lundi a accueillir un « dialogue » entre les acteurs du conflit afin d'accompagner les Libyens dans la redynamisation du processus politique et d'un dialogue inclusif. Ce nouveau rendez-vous fait suite aux efforts diplomatiques déjà fournis à Moscou, puis à Berlin, pour transformer la trêve observée à Tripoli, depuis dix jours, en un cessez-le-feu.
Plusieurs pays africains s'étaient plaints d'avoir été tenus à l'écart du processus dit de Berlin, où promesse a été faite de respecter un embargo sur les armes et de ne plus interférer dans les affaires libyennes. Les conséquences de cet engagement sur le terrain restent cependant incertaines, les deux rivaux directs, Fayez al-Sarraj et Khalifa Haftar, ayant refusé de se rencontrer dans la capitale allemande.
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