Huit policiers algériens et deux enseignants ont été tués mardi après-midi dans un attentat à la bombe visant un convoi de véhicules à Timezrit près de Boumerdès (50 km à l'est d'Alger), ont indiqué mercredi plusieurs journaux dont Liberté et El Watan (francophones, privés). L'information n'a pas été confirmée officiellement.
Selon El Watan, qui cite des témoignages concordants, «une bombe artisanale a été actionnée à distance au passage du convoi» vers 17H30 (16H30 GMT).
Le convoi était composé de voitures civiles escortées par des policiers et transportant des copies de l'épreuve du brevet élémentaire, un examen qui sanctionne le passage du collège au lycée, précisent les deux journaux.
La déflagration a été «suivie de tirs nourris en direction des véhicules», précise Liberté.
Cet attentat est le plus meurtrier depuis des mois.
Le 26 mai, neuf militaires avaient été tués et une dizaine blessés dans une embuscade tendue par un groupe d'islamistes armés près de Biskra (425 km au sud-est d'Alger), avait rapporté la presse.
L'information n'avait pas non plus été confirmée officiellement.
Citant des «des sources sécuritaires», la presse avait affirmé que des parachutistes étaient tombés dans un véritable guet-apens, avant d'être la cible de tirs à l'arme automatique et de l'explosion de bombes enfouies dans la terre.
Source : Le parisien
Selon El Watan, qui cite des témoignages concordants, «une bombe artisanale a été actionnée à distance au passage du convoi» vers 17H30 (16H30 GMT).
Le convoi était composé de voitures civiles escortées par des policiers et transportant des copies de l'épreuve du brevet élémentaire, un examen qui sanctionne le passage du collège au lycée, précisent les deux journaux.
La déflagration a été «suivie de tirs nourris en direction des véhicules», précise Liberté.
Cet attentat est le plus meurtrier depuis des mois.
Le 26 mai, neuf militaires avaient été tués et une dizaine blessés dans une embuscade tendue par un groupe d'islamistes armés près de Biskra (425 km au sud-est d'Alger), avait rapporté la presse.
L'information n'avait pas non plus été confirmée officiellement.
Citant des «des sources sécuritaires», la presse avait affirmé que des parachutistes étaient tombés dans un véritable guet-apens, avant d'être la cible de tirs à l'arme automatique et de l'explosion de bombes enfouies dans la terre.
Source : Le parisien
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