Mohamed Taileb, porte-parole du Camra, raconte la violence de la répression policière.
« Cette marche a été fortement réprimée. Il y a eu des arrestations massives : plus de 250 médecins résidents ont été arrêtés, sans aucun motif avec une grande violence. Il y a eu même des blessés très graves durant cette manifestation. Ils ont été relâchés après plus de quatre à cinq heures de détention. Ils ont été emmenés avec force dans des fourgons, dans des bus, très loin de la capitale, isolés. D’ici le 29 avril, il y aura un arrêt total des gardes et ça pourrait même partir vers la démission collective », a-t-il expliqué.
Le 12 février dernier, une manifestation avait déjà eu lieu dans le centre de la capitale algérienne. Malgré le dispositif policier important, ils avaient réussi à marcher jusqu'à l'Assemblée populaire nationale, où ils avaient été reçus par le président du Parlement. Ils dénonçaient l'inefficacité des négociations avec le ministère de la Santé.
« Cette marche a été fortement réprimée. Il y a eu des arrestations massives : plus de 250 médecins résidents ont été arrêtés, sans aucun motif avec une grande violence. Il y a eu même des blessés très graves durant cette manifestation. Ils ont été relâchés après plus de quatre à cinq heures de détention. Ils ont été emmenés avec force dans des fourgons, dans des bus, très loin de la capitale, isolés. D’ici le 29 avril, il y aura un arrêt total des gardes et ça pourrait même partir vers la démission collective », a-t-il expliqué.
Le 12 février dernier, une manifestation avait déjà eu lieu dans le centre de la capitale algérienne. Malgré le dispositif policier important, ils avaient réussi à marcher jusqu'à l'Assemblée populaire nationale, où ils avaient été reçus par le président du Parlement. Ils dénonçaient l'inefficacité des négociations avec le ministère de la Santé.
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