Quarante jours. C’est la longueur d’un deuil musulman. Et comme un symbole inconscient, l’absence prolongée du président provoque désormais l’agitation politique.
Sans se déclarer candidats, certains dirigeants ont fait un pas en avant cette semaine. C’est le cas de Ali Brahimi, ancien député et chef d’un nouveau parti. Il a publié onze propositions pour une transition démocratique.
D’anciens députés ont lancé une campagne pour une deuxième République. Et l’islamiste Abdallah Djaballah a dévoilé un projet de révision de la Constitution.
La presse algérienne évoque avec insistance plusieurs favoris. D’abord Ahmed Benbitour, ancien chef de gouvernement d’Abdelaziz Bouteflika. Mais aussi Ali Benflis, candidat à la présidentielle de 2004. Tous les deux sont candidats.
Ce n’est pas le cas de Mouloud Hamrouche, dont le nom revient régulièrement. L’ancien chef de gouvernement du président Chadli Bendjedid - dans les années 1980 - a été candidat à la présidentielle de 1999.
Enfin, l’hypothèse d’un retour de Liamine Zéroual semble exclue puisque l’ancien président ne le souhaiterait pas.
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