Pour le président du comité sénégalais des droits de l’homme interrogé sur la manifestation du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) prévue cet après-midi, « la marche, c’est exercer sa liberté d’expression qui est reconnue par la constitution du Sénégal. De ce point de vue, je pense que l’opposition a le droit de marcher et d’exercer cette liberté maintenant, je pense qu’il nous faut réfléchir parce que c’est une démocratie sénégalaise qui est reconnue en référence qui nous a valu la visite de Barack Obama, c’est-à-dire qu’on a connu il faut bien le dire une remontée démocratique qui s’est terminée dans les urnes, c’est très important ».
« Toute l’Afrique a eu les yeux tournés sur le Sénégal, je pense qu’il nous faut réfléchir pour voir comment consolider les acquis que nous avons eus. Que celui qui gouverne gouverne, ceux qui effectivement sont dans l’opposition puissent exercer leur liberté » lâche Alioune Tine qui ne manque pas de préciser que ce, « en pensant fondamentalement vraiment aux Sénégalais qui, aujourd’hui sont devenus des citoyens mûrs, très conscients de leurs droits et qui ont des aspirations profondes qui doivent être réglées dans le calme dans un environnement en Afrique de l’Ouest très problématique ».
En effet, « le Sénégal est entouré par beaucoup de pays qui connaissent l’instabilité. A ce titre, le Sénégal doit être une boussole de stabilité de politique de débats démocratiques qui puissent quand même nous permettre de développer les acquis dans tous les sens, économiques, droits civiques, politiques et les libertés fondamentales comme le Ghana », selon le défenseur des droits de l’Homme qui invite sur les ondes de la Rfm, la classe politique à « retrouver les moyens de discuter pour avoir un espace démocratique stable, un champs politique apaisé et ça quelque soit celui qui gouverne ».
« Toute l’Afrique a eu les yeux tournés sur le Sénégal, je pense qu’il nous faut réfléchir pour voir comment consolider les acquis que nous avons eus. Que celui qui gouverne gouverne, ceux qui effectivement sont dans l’opposition puissent exercer leur liberté » lâche Alioune Tine qui ne manque pas de préciser que ce, « en pensant fondamentalement vraiment aux Sénégalais qui, aujourd’hui sont devenus des citoyens mûrs, très conscients de leurs droits et qui ont des aspirations profondes qui doivent être réglées dans le calme dans un environnement en Afrique de l’Ouest très problématique ».
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