A l’issue de la rencontre entre le président de la République, Macky Sall et ses alliés de Benno Bokk Yaakar (BBY), il s’est susurré la volonté du chef de l’Etat à remettre en selle le Sénat. Rapidement, le nom de Aminata Touré a été avancé. Une occasion ainsi pour le président de l’Alliance pour la République (APR) de recoller les morceaux avec elle après son limogeage de la Primatureen debut juillet dernier.
Aminata Touré a voulu couper court à toute supputation allant dans ce sens. C’est ainsi que des USA, elle a donné sa position sur le Sénat. «Lorsque j'étais ministre de la Justice, Garde des Sceaux, j'avais plaidé devant l'Assemblée nationale pour la suppression du Sénat. Donc, il est évident que quelques mois après, revenir pour me demander s'il faut faire renaître le Sénat, ma réponse est non », tranche nettement l’ancienne Première ministre.
« Je pense que les arguments n'ont pas évolué et que le pays n'a pas nécessairement besoin d'une institution supplémentaire. Il faut faire fonctionner celles qui existent déjà. Il faut que les représentants de ces institutions soient juste proactifs. C'est vrai que cela coute 4 milliards mais, c'est beaucoup d'argent » renseigne Aminata Touré. Il faut que l’Assemblée nationale joue véritablement son rôle, le Conseil Economique, Social et Environnemental ainsi que le Gouvernement en fassent de même. Et le pays ne s’en porterait que mieux, a-t-elle souligné sur les ondes de la RFM.
Par cette réponse Aminata Touré donne un avis défavorable à la restauration du Sénat et balaie par la même occasion les allégations selon lesquelles, elle serait pressentie pour occuper la présidence de cette institution ressuscitée.
Aminata Touré a voulu couper court à toute supputation allant dans ce sens. C’est ainsi que des USA, elle a donné sa position sur le Sénat. «Lorsque j'étais ministre de la Justice, Garde des Sceaux, j'avais plaidé devant l'Assemblée nationale pour la suppression du Sénat. Donc, il est évident que quelques mois après, revenir pour me demander s'il faut faire renaître le Sénat, ma réponse est non », tranche nettement l’ancienne Première ministre.
« Je pense que les arguments n'ont pas évolué et que le pays n'a pas nécessairement besoin d'une institution supplémentaire. Il faut faire fonctionner celles qui existent déjà. Il faut que les représentants de ces institutions soient juste proactifs. C'est vrai que cela coute 4 milliards mais, c'est beaucoup d'argent » renseigne Aminata Touré. Il faut que l’Assemblée nationale joue véritablement son rôle, le Conseil Economique, Social et Environnemental ainsi que le Gouvernement en fassent de même. Et le pays ne s’en porterait que mieux, a-t-elle souligné sur les ondes de la RFM.
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