Entre le président de la République, Macky Sall et son ministre-conseiller, le courant ne passe vraiment plus. Après sa tonitruante sortie contre le Chef de l’Etat à la suite de la visite que ce dernier a faite à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Amsatou Sow Sidibé remet ça. Le professeur ne mâche pas ses mots. «Nous à Car/Leneen, nous prônons l’éthique politique. Nous voulons que les valeurs républicaines soient au centre des préoccupations et nous voulons offrir à la jeunesse sénégalaise de bons exemples en termes de d’éthique politiques », campe le ministre conseiller qui aborde là la question de la transhumance qui n’est pas selon elle, « la meilleure des stratégies pour avoir des militants ».
Forte de ce fait, Amsatou Sow Sidibé est convaincue qu’ «il faut moraliser la vie politique ». Ce, d’autant plus qu’« il y a des dérives au point que beaucoup de Sénégalais ne veulent même pas voir en peinture les hommes politiques ». Sur la question de la traque des biens dits mal acquis notamment la condamnation de Wade-fils, le ministre-conseiller affirme que « les juridictions doivent se déclarer compétentes pour régler d’autres cas de biens mal acquis » car si «elles ne le font pas, je pense qu’il faut libérer Karim », explique-t-elle. « Si d’autres personnes ne sont pas attraites devant la Justice, Karim Wade doit être libéré », martèle Amsatou Sow Sidibé qui sur ce point, indique qu’il s’agit de «stabilité sociale » dans la mesure où scande-t-elle dans Walfadjri : « le Sénégal est bloqué » et que «l’émergence est devenue une sorte de canular parce qu’il n’y a pas de stabilité politique et sociale ».
Forte de ce fait, Amsatou Sow Sidibé est convaincue qu’ «il faut moraliser la vie politique ». Ce, d’autant plus qu’« il y a des dérives au point que beaucoup de Sénégalais ne veulent même pas voir en peinture les hommes politiques ». Sur la question de la traque des biens dits mal acquis notamment la condamnation de Wade-fils, le ministre-conseiller affirme que « les juridictions doivent se déclarer compétentes pour régler d’autres cas de biens mal acquis » car si «elles ne le font pas, je pense qu’il faut libérer Karim », explique-t-elle. « Si d’autres personnes ne sont pas attraites devant la Justice, Karim Wade doit être libéré », martèle Amsatou Sow Sidibé qui sur ce point, indique qu’il s’agit de «stabilité sociale » dans la mesure où scande-t-elle dans Walfadjri : « le Sénégal est bloqué » et que «l’émergence est devenue une sorte de canular parce qu’il n’y a pas de stabilité politique et sociale ».
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