Le Parti démocratique sénégalais (Pds) pourrait prendre part au dialogue annoncé par le chef de l’Etat Macky Sall. Mais à condition que ce dernier accepte de revenir sur plusieurs points concernant le fichier électoral et les acquis démocratiques.
Invité à l’emission Grand Jury sur la Rfm, El Haj Amadou Sall qui dirige le pôle Communication du parti, a affirmé que les libéraux sont prêts à se mettre à la même table que Macky. Toutefois, « Cela dépend de ce qu’on nous propose. Il faudra auditer ce fichier qui n’est pas consensuel. (...) Il n’y a pas de consensus sur le parrainage, pas de consensus sur le mode de désignation des députés », a-t-il déclaré avant de dénoncer également « la répression des manifestations », notamment de l’opposition.
Selon Me Sall, « le dialogue politique est un mode de gestion de la démocratie ». Il appelle l’actuel Président à copier l’attitude de l’ancien président socialiste. « En 1992, Diouf avait accepté de dialoguer avec l’opposition et avait dit, ‘’je ne changerai pas une virgule du texte que vous allez me proposer’’. C’est cela qui avait abouti au code de 1992, qui un code consensuel, et qui nous a valu l’élection de trois présidents, notamment en 2000 et en 2012. ».
Il rappelle : « c’est cela que Macky Sall a mis en cause, en mettant en place un code non-consensuel. C’est là le problème ».
Invité à l’emission Grand Jury sur la Rfm, El Haj Amadou Sall qui dirige le pôle Communication du parti, a affirmé que les libéraux sont prêts à se mettre à la même table que Macky. Toutefois, « Cela dépend de ce qu’on nous propose. Il faudra auditer ce fichier qui n’est pas consensuel. (...) Il n’y a pas de consensus sur le parrainage, pas de consensus sur le mode de désignation des députés », a-t-il déclaré avant de dénoncer également « la répression des manifestations », notamment de l’opposition.
Selon Me Sall, « le dialogue politique est un mode de gestion de la démocratie ». Il appelle l’actuel Président à copier l’attitude de l’ancien président socialiste. « En 1992, Diouf avait accepté de dialoguer avec l’opposition et avait dit, ‘’je ne changerai pas une virgule du texte que vous allez me proposer’’. C’est cela qui avait abouti au code de 1992, qui un code consensuel, et qui nous a valu l’élection de trois présidents, notamment en 2000 et en 2012. ».
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