Le Directeur du commerce intérieur du Sénégal, El Hadji Alioune Diouf a révélé que «la demande en sucre est passée de 120 000 à 180 000 tonnes». Cela s’explique, pour lui, par le fait qu’«aujourd’hui, le prix au marché mondial est plus cher que le prix au niveau local. Tous ceux qui importaient du sucre à l’étranger, n’importent plus et donc s’approvisionnent au niveau local. Ce qui fait que notre demande est passée de 120 000 tonnes à 180 000 tonnes. Alors que l’usine a une capacité de 100 000 tonnes».
El Hadji Alioune Diouf d’indiquer: «à cause de notre politique, nous avons le sucre le moins cher de l’Afrique et même du monde. C'est-à-dire si vous voulez importer du sucre pour venir le vendre au Sénégal, ça coute plus cher que le sucre local. Ce qui fait que les pays environnants s’approvisionnent au Sénégal en sucre. C’est cela qui a augmenté notre demande. C'est-à-dire les industriels qui importaient du sucre, en général ils importaient leur sucre parce que c’était moins cher.
El Hadji Alioune Diouf d’indiquer: «à cause de notre politique, nous avons le sucre le moins cher de l’Afrique et même du monde. C'est-à-dire si vous voulez importer du sucre pour venir le vendre au Sénégal, ça coute plus cher que le sucre local. Ce qui fait que les pays environnants s’approvisionnent au Sénégal en sucre. C’est cela qui a augmenté notre demande. C'est-à-dire les industriels qui importaient du sucre, en général ils importaient leur sucre parce que c’était moins cher.
Autres articles
-
Publication des licences de pêche, réglementation… : « Il n’y a pas de surveillance dans les côtes sénégalaises » (Ibrahima Mar)
-
La Douane sénégalaise met la main sur près de quatre milliards de FCA en faux billets à Sénoba
-
Le Sénégal dans le Top 10 des marchés émergents à croissance rapide
-
Critiques sur les nouvelles réformes : l’Amicale des Inspecteurs et Officiers des Douanes prend la défense des cadres et de l’Administration
-
Souveraineté alimentaire : « On ne peut atteindre l’autosuffisance alimentaire sans développer et investir davantage dans le secteur agricole » (Abdourahmane Ndiaye)