Les derniers combattants de l’Organisation État islamique (OEI), retranchés dans la ville de Baghouz, au sud de la Syrie, ont fini par capituler, le 23 mars, notamment sous le coup des frappes aériennes françaises. "On est sur la dernière poche du califat, tel qu’il était il y a quelques années. C’est la fin des combats mais ceux-ci restent intenses", décrivait quelques semaines plus tôt un pilote de Rafale français, rencontré par France 24, sur la base aérienne projetée H5 en Jordanie.
Lui et les autres membres de l’armée française présents dans cette région ont joué un rôle non négligeable dans la bataille contre l’OEI. Au total, depuis le lancement en 2014 de l’opération Chammal en Irak puis en Syrie, l’armée française a tiré plus de 18 000 obus et mené plus de 1 500 frappes aériennes en appui des troupes alliées engagées au sol contre les jihadistes.
Lui et les autres membres de l’armée française présents dans cette région ont joué un rôle non négligeable dans la bataille contre l’OEI. Au total, depuis le lancement en 2014 de l’opération Chammal en Irak puis en Syrie, l’armée française a tiré plus de 18 000 obus et mené plus de 1 500 frappes aériennes en appui des troupes alliées engagées au sol contre les jihadistes.
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