Le ton est définitivement donné du côté de la LSDH suite à l’arrestation de Fadel Barro et Cie en RDC. Avec 150 organisations membres, Assane Dioma Ndiaye et Cie ne badinent pas. «La LSDH avec 150 organisations membres, nous sommes un réseau avec nos organisations sœurs en République du Congo. Nous exigeons immédiatement la libération de Fadel Barro et des Burkinabés ; il y a même une quarantaine de personnes qui sont arrêtées », sert d’emblée l’avocat pour qui : «c’est impensable qu’on s’attaque ainsi à une société civile qui n’a rien de politique, qui est dans le cadre des coalitions citoyennes pour le droit de vote ».
D’autant plus que poursuit-il : «C’est normal qu’il est concertation et notre objectif, on l’a rappelé depuis le sommet de la Francophonie, c’est d’arriver à une synergie d’actions entre toutes les sociétés civiles et africaines ». Mieux, «nous ne parlons pas de politique et nous sommes pour l’autodétermination des peuples, le principe des peuples à disposer d’eux-mêmes… C’est une coalition pour le triomphe d’un certain nombre d’idéaux indispensables pour la pérennité de l’Afrique, l’intangibilité des Constitutions, on respecte le droit de vote des citoyens, qu’on organise des élections libres et démocratiques ».
Pour les défenseurs de droits de l’homme, ce sont là : «des principes universels pour toute personne qui œuvre pour un Etat de droit peut défendre qu’il soit dans son pays ou dans un pays tiers ». Ce, d’autant, développe la robe noire, «il y a deux (2) ou trois (3) mois, nous avons reçu la société civile congolaise au Sénégal, c’est la ligue Sénégalaise qui a parrainé ce voyage. Nous avons rencontré toutes les autorités de ce pays car la société civile voulait s’enquérir de l’expérience sénégalaise et c’est à ce titre que « Y’en a marre » a été invité ». Selon lui, «la frilosité des autorités congolaises s’explique par l’approche des élections et certainement cette crainte de perdre le pouvoir mais cela ne s’explique pas. C’est inacceptable, ce qui s’est passé ».
C’est fortes de ce fait que les organisations internationales ne vont pas baisser les bras. Pour avoir gain de cause, ils vont alerter la communauté internationale. «Nous allons inonder toutes les présidences, tous les gouvernements du monde, nous demanderons que la communauté internationale et au besoin les Nations Unis fassent pression sur les autorités de Kinshasa pour qu’elles libèrent ces personnes qui n’ont commis aucun délit ». Assane Dioma Ndiaye et Cie sont certains que ces dernières «vont sortir un rapport charger ces jeunes". L’avocat qui donne des nouvelles de Fadel Barro et Cie d’informer qu’ils en sont au stade de l’enquête. Ce, sans manquer de prévenir contre toute procédure judiciaire. Car "si d’aventure les autorités judiciaires congolaises ouvraient une procédure judiciaire...,ils seront considérés comme des détenus d’opinion". « La liberté d’expression ne peut pas être criminalisée », décrète la LSDH.
D’autant plus que poursuit-il : «C’est normal qu’il est concertation et notre objectif, on l’a rappelé depuis le sommet de la Francophonie, c’est d’arriver à une synergie d’actions entre toutes les sociétés civiles et africaines ». Mieux, «nous ne parlons pas de politique et nous sommes pour l’autodétermination des peuples, le principe des peuples à disposer d’eux-mêmes… C’est une coalition pour le triomphe d’un certain nombre d’idéaux indispensables pour la pérennité de l’Afrique, l’intangibilité des Constitutions, on respecte le droit de vote des citoyens, qu’on organise des élections libres et démocratiques ».
Pour les défenseurs de droits de l’homme, ce sont là : «des principes universels pour toute personne qui œuvre pour un Etat de droit peut défendre qu’il soit dans son pays ou dans un pays tiers ». Ce, d’autant, développe la robe noire, «il y a deux (2) ou trois (3) mois, nous avons reçu la société civile congolaise au Sénégal, c’est la ligue Sénégalaise qui a parrainé ce voyage. Nous avons rencontré toutes les autorités de ce pays car la société civile voulait s’enquérir de l’expérience sénégalaise et c’est à ce titre que « Y’en a marre » a été invité ». Selon lui, «la frilosité des autorités congolaises s’explique par l’approche des élections et certainement cette crainte de perdre le pouvoir mais cela ne s’explique pas. C’est inacceptable, ce qui s’est passé ».
C’est fortes de ce fait que les organisations internationales ne vont pas baisser les bras. Pour avoir gain de cause, ils vont alerter la communauté internationale. «Nous allons inonder toutes les présidences, tous les gouvernements du monde, nous demanderons que la communauté internationale et au besoin les Nations Unis fassent pression sur les autorités de Kinshasa pour qu’elles libèrent ces personnes qui n’ont commis aucun délit ». Assane Dioma Ndiaye et Cie sont certains que ces dernières «vont sortir un rapport charger ces jeunes". L’avocat qui donne des nouvelles de Fadel Barro et Cie d’informer qu’ils en sont au stade de l’enquête. Ce, sans manquer de prévenir contre toute procédure judiciaire. Car "si d’aventure les autorités judiciaires congolaises ouvraient une procédure judiciaire...,ils seront considérés comme des détenus d’opinion". « La liberté d’expression ne peut pas être criminalisée », décrète la LSDH.
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