Seydi Gassama, Directeur exécutif d’Amnesty Sénégal qui s’exprimait en marge de la rencontre est revenu en bref sur le bilan des réalisations d’Amnesty pour l’année 2023.
«Amnesty Sénégal a réalisé énormément de choses en matière de droits humains et a été très présente dans les combats pour les droits humains au Sénégal. Elle a été très présente sur la scène africaine et très présente sur la scène mondiale parce que nous participons également à toutes les rencontres internationales, nous essayons d’influer non seulement sur la politique de l’Etat du Sénégal, mais aussi sur la politique de tous les Etats du monde sur différentes questions », a fait savoir le droit de l’hommiste.
Poursuivant ses propos, Seydi Gassama indique que la Section Amnesty Senegal en collaboration avec celui de la Gambie lutte pour éradiquer la mendicité des enfants qui sévit dans les deux pays, mais aussi pour l’abolition de la peine de mort en Gambie.
« Que ce soit la question des armes légères dont la circulation a causé beaucoup de conflits dans la sous-région, la question de la Palestine sur tous les fronts ou Amnesty est engagée globalement, Amnesty Sénégal est présent sur ça. Nous ne travaillons pas seulement au Sénégal, nous travaillons dans tous les pays du monde. Avec la Gambie, nous travaillons, sur l’éducation aux droits humains, nous sommes présentes dans la plupart des lycées, où nous développons des sujets liés à l’éducation aux droits humains, sur un thème comme la peine de mort qui existe toujours en Gambie. Même s’il elle n’est exécutée, la peine de mort existe en Gambie et notre grand défi, c’est d’amener le régime du Président Adama Barrow à abolir la peine de mort comme il en a fait la promesse », a laissé entendre le directeur exécutif d'Amnesty Sénégal.
Concernant la situation des droits de l’homme chez les enfants Seydi Gassama, soutient que « la situation des enfants est catastrophique, parce que cette tradition de daara (école coranique) dont le modèle traditionnel se caractérise par l’exploitation des enfants, par la mendicité, par la maltraitance, c’est des pratiques communes et contre lesquelles nous luttons sans relâche pour que dans ces deux pays il y ait des lois qui organisent l’enseignement coranique, qui permet à l’Etat de financer l’enseignement coranique et qui mettent fin à l’exploitation des enfants dans ses deux pays »,
«Amnesty Sénégal a réalisé énormément de choses en matière de droits humains et a été très présente dans les combats pour les droits humains au Sénégal. Elle a été très présente sur la scène africaine et très présente sur la scène mondiale parce que nous participons également à toutes les rencontres internationales, nous essayons d’influer non seulement sur la politique de l’Etat du Sénégal, mais aussi sur la politique de tous les Etats du monde sur différentes questions », a fait savoir le droit de l’hommiste.
Poursuivant ses propos, Seydi Gassama indique que la Section Amnesty Senegal en collaboration avec celui de la Gambie lutte pour éradiquer la mendicité des enfants qui sévit dans les deux pays, mais aussi pour l’abolition de la peine de mort en Gambie.
« Que ce soit la question des armes légères dont la circulation a causé beaucoup de conflits dans la sous-région, la question de la Palestine sur tous les fronts ou Amnesty est engagée globalement, Amnesty Sénégal est présent sur ça. Nous ne travaillons pas seulement au Sénégal, nous travaillons dans tous les pays du monde. Avec la Gambie, nous travaillons, sur l’éducation aux droits humains, nous sommes présentes dans la plupart des lycées, où nous développons des sujets liés à l’éducation aux droits humains, sur un thème comme la peine de mort qui existe toujours en Gambie. Même s’il elle n’est exécutée, la peine de mort existe en Gambie et notre grand défi, c’est d’amener le régime du Président Adama Barrow à abolir la peine de mort comme il en a fait la promesse », a laissé entendre le directeur exécutif d'Amnesty Sénégal.
Concernant la situation des droits de l’homme chez les enfants Seydi Gassama, soutient que « la situation des enfants est catastrophique, parce que cette tradition de daara (école coranique) dont le modèle traditionnel se caractérise par l’exploitation des enfants, par la mendicité, par la maltraitance, c’est des pratiques communes et contre lesquelles nous luttons sans relâche pour que dans ces deux pays il y ait des lois qui organisent l’enseignement coranique, qui permet à l’Etat de financer l’enseignement coranique et qui mettent fin à l’exploitation des enfants dans ses deux pays »,
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