Suite à la publication du communiqué de la direction du groupe Emedia Invest informant à son personnel qu’il ne sera pas possible de leur allouer la traditionnelle « avance Tabaski », le secrétaire général du Synpics Emedia n’a pas tardé à répliquer. Dans une note, il indique que « le Syndicat des travailleurs du Groupe Emedia Invest a appris, avec désolation, le communiqué rendu public par la direction générale sur son incapacité à mettre à la disposition des agents de cette boîte des avances pour la fête de Tabaski ».
A l'en croire, l’avance Tabaski dont fait allusion la direction n’est qu’une diversion par ce que note -t-on sur le document les travailleurs courent toujours derrière leurs salaires des mois d’Avril et Mai.
« Tout d'abord, le Syndicat rappelle que l’avance Tabaski n'a jamais été l’urgence du moment. Qui a demandé cette avance ? Diversion ! Des travailleurs courent encore et toujours derrière leur salaire des mois d'avril et de mai. On ne parle plus de retard de salaires. Mais plutôt d'arriérés de salaires. Ces pères, mères et responsables de familles peuvent se passer d’avance s’ils recevaient correctement leur dû à la fin de chaque mois », a souligné le syndicaliste.
« Le Syndicat a alerté, plus d'une fois, sur les conditions difficiles que vivent les travailleurs depuis plus de trois ans. Aujourd'hui encore, le Syndicat des travailleurs du Groupe Emedia Invest exige le paiement des salaires à échéance légale. Nous ne cessons de le rappeler : le salaire est avant tout une question de dignité », lit-on sur la note.
A l'en croire, l’avance Tabaski dont fait allusion la direction n’est qu’une diversion par ce que note -t-on sur le document les travailleurs courent toujours derrière leurs salaires des mois d’Avril et Mai.
« Tout d'abord, le Syndicat rappelle que l’avance Tabaski n'a jamais été l’urgence du moment. Qui a demandé cette avance ? Diversion ! Des travailleurs courent encore et toujours derrière leur salaire des mois d'avril et de mai. On ne parle plus de retard de salaires. Mais plutôt d'arriérés de salaires. Ces pères, mères et responsables de familles peuvent se passer d’avance s’ils recevaient correctement leur dû à la fin de chaque mois », a souligné le syndicaliste.
« Le Syndicat a alerté, plus d'une fois, sur les conditions difficiles que vivent les travailleurs depuis plus de trois ans. Aujourd'hui encore, le Syndicat des travailleurs du Groupe Emedia Invest exige le paiement des salaires à échéance légale. Nous ne cessons de le rappeler : le salaire est avant tout une question de dignité », lit-on sur la note.
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