
Ayib Daffé, secrétaire général du parti Pastef, a exprimé sa satisfaction face aux résultats des élections législatives anticipées du 17 novembre. Il a promis une véritable rupture dans le fonctionnement de l’Assemblée nationale. Invité de l’émission Salam Sénégal sur Radio Sénégal International (RSI), Ayib Daffé s’est également prononcé sur la question du futur président de l’Assemblée nationale, affirmant que la décision finale reviendra au parti Pastef.
« Nos principaux défis incluent l’adoption du budget et la création d’une Haute Cour de justice, une nécessité imposée par la loi », a informé Ayib Daffé, secrétaire général du parti Pastef. Il a insisté sur l’importance pour les députés de Pastef de s’inspirer de l’exemplarité de la législature d’Ousmane Sonko, qui, de 2017 à 2022, a su défendre les intérêts du peuple et de leurs localités, affirmer leurs positions et contrôler l’action du gouvernement sur les politiques publiques.
Il a affirmé que Sonko avait montré une rupture significative avec les pratiques habituelles.
Pour poursuivre cette dynamique de changement, le secrétaire général a proposé un nouveau format pour les débats à l’Assemblée nationale. Il a suggéré que les journalistes soient invités afin de favoriser les échanges entre les députés et les membres du gouvernement. « Nous aspirons à une rupture avec le passé », a-t-il déclaré, précisant que « l’Assemblée nationale ne doit pas devenir une annexe du parti au pouvoir, mais plutôt le gardien du projet national ».
Concernant la présidence de l’Assemblée nationale, où certains proposent Ousmane Sonko pour éviter une dualité au sommet du gouvernement, Ayib Daffé a souligné que ceux qui anticipent ce débat ne devraient pas être concernés par les discussions actuelles. « Cette question doit être réglée en interne, au sein de notre parti », a-t-il ajouté.
Le secrétaire général de Pastef a également évoqué la défaite de l’inter-coalition de l’opposition, la qualifiant de peu réaliste et handicapante. Il a noté que cette inter-coalition n’avait pas été préparée et que certains candidats manquaient de légitimité aux yeux des Sénégalais, ce qui a contribué à son échec dans certains départements. « C’était avant tout une alliance opportuniste », a-t-il argumenté.
Enfin, il a affirmé que l’opposition a sa place légitime à l’Assemblée nationale, précisant que celle-ci dispose d’un règlement intérieur et que les postes seront répartis par l’intermédiaire des groupes parlementaires. Il a encouragé l’opposition à élaborer une stratégie claire pour s’affirmer dans le débat politique.
« Nos principaux défis incluent l’adoption du budget et la création d’une Haute Cour de justice, une nécessité imposée par la loi », a informé Ayib Daffé, secrétaire général du parti Pastef. Il a insisté sur l’importance pour les députés de Pastef de s’inspirer de l’exemplarité de la législature d’Ousmane Sonko, qui, de 2017 à 2022, a su défendre les intérêts du peuple et de leurs localités, affirmer leurs positions et contrôler l’action du gouvernement sur les politiques publiques.
Il a affirmé que Sonko avait montré une rupture significative avec les pratiques habituelles.
Pour poursuivre cette dynamique de changement, le secrétaire général a proposé un nouveau format pour les débats à l’Assemblée nationale. Il a suggéré que les journalistes soient invités afin de favoriser les échanges entre les députés et les membres du gouvernement. « Nous aspirons à une rupture avec le passé », a-t-il déclaré, précisant que « l’Assemblée nationale ne doit pas devenir une annexe du parti au pouvoir, mais plutôt le gardien du projet national ».
Concernant la présidence de l’Assemblée nationale, où certains proposent Ousmane Sonko pour éviter une dualité au sommet du gouvernement, Ayib Daffé a souligné que ceux qui anticipent ce débat ne devraient pas être concernés par les discussions actuelles. « Cette question doit être réglée en interne, au sein de notre parti », a-t-il ajouté.
Le secrétaire général de Pastef a également évoqué la défaite de l’inter-coalition de l’opposition, la qualifiant de peu réaliste et handicapante. Il a noté que cette inter-coalition n’avait pas été préparée et que certains candidats manquaient de légitimité aux yeux des Sénégalais, ce qui a contribué à son échec dans certains départements. « C’était avant tout une alliance opportuniste », a-t-il argumenté.
Enfin, il a affirmé que l’opposition a sa place légitime à l’Assemblée nationale, précisant que celle-ci dispose d’un règlement intérieur et que les postes seront répartis par l’intermédiaire des groupes parlementaires. Il a encouragé l’opposition à élaborer une stratégie claire pour s’affirmer dans le débat politique.
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