Ancien ministre de l’Économie du Sénégal et ex-vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), Amadou Hott poursuit activement sa campagne pour la présidence de l’institution. Hier, jeudi, à Washington, il a pris part à un débat organisé par The Brookings Institution, réunissant les cinq candidats en lice.
Lors de cet échange, Amadou Hott a articulé sa vision autour de la transition énergétique, des infrastructures vertes et de la mobilisation du capital privé pour soutenir le développement durable.
« Hier, j’ai eu l’honneur de prendre part à un débat enrichissant aux côtés des autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement, organisé par The Brookings Institution. Nous partageons le même objectif : accélérer la transformation économique de l’Afrique », a déclaré l’ancien vice-président de la BAD.
En tant que candidat, dit-il, ma vision entend soutenir l’Afrique à réaliser son autonomie et à bâtir plus de résilience.
Amadou Hott s’engage notamment à œuvrer pour : « Renforcer les partenariats avec le secteur privé pour le développement des infrastructures clés (énergie, santé, éducation, agriculture). Développer les talents et l’emploi pour les jeunes et les femmes ».
Le candidat à la présidence de la BAD compte également soutenir les « réformes pour mobiliser davantage de ressources locales (recettes fiscales, investissements institutionnels). Tenir la promesse d’initiatives ambitieuses comme la Mission 300 pour l’accès à une énergie durable et d’accroître le soutien aux économies les plus vulnérables. »
L’élection du prochain président de la BAD est prévue le 29 mai 2025, lors des Assemblées annuelles de l’institution à Abidjan. Ce débat a constitué une plateforme précieuse pour comparer les visions et les priorités des candidats, à un moment où la BAD joue un rôle stratégique dans le développement économique et social de l’Afrique.
Lors de cet échange, Amadou Hott a articulé sa vision autour de la transition énergétique, des infrastructures vertes et de la mobilisation du capital privé pour soutenir le développement durable.
« Hier, j’ai eu l’honneur de prendre part à un débat enrichissant aux côtés des autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement, organisé par The Brookings Institution. Nous partageons le même objectif : accélérer la transformation économique de l’Afrique », a déclaré l’ancien vice-président de la BAD.
En tant que candidat, dit-il, ma vision entend soutenir l’Afrique à réaliser son autonomie et à bâtir plus de résilience.
Amadou Hott s’engage notamment à œuvrer pour : « Renforcer les partenariats avec le secteur privé pour le développement des infrastructures clés (énergie, santé, éducation, agriculture). Développer les talents et l’emploi pour les jeunes et les femmes ».
Le candidat à la présidence de la BAD compte également soutenir les « réformes pour mobiliser davantage de ressources locales (recettes fiscales, investissements institutionnels). Tenir la promesse d’initiatives ambitieuses comme la Mission 300 pour l’accès à une énergie durable et d’accroître le soutien aux économies les plus vulnérables. »
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