Après deux années blanches où Joël Embiid a regardé les matches du championnat nord-américain de basket-ball en tant que spectateur, il ne lui aura fallu que 15 rencontres pour démontrer qu’il est un des joueurs à suivre cette saison.
Joël Embiid, un lion rugissant
Le 26 octobre 2016, le pivot camerounais a foulé pour la première fois les parquets de la NBA pour un match officiel face à Oklahoma City Thunder. Un match qui a été celui de la résurrection pour Joël Embiid. Nullement impressionné, il marque 20 points, finit meilleur marqueur de son équipe et meilleur rebondeur avec sept ballons récupérés.
Cette prouesse a lancé la saison du jeune athlète âgé de 22 ans. Depuis, il a réalisé 15 matches en tant que titulaire, et a accumulé les récompenses. Il a fini sept fois meilleur marqueur des Sixers et six fois meilleur rebondeur. Joël Embiid est devenu une pièce maîtresse des Philadelphia 76ers.
Joël Embiid, un lion rugissant
Le 26 octobre 2016, le pivot camerounais a foulé pour la première fois les parquets de la NBA pour un match officiel face à Oklahoma City Thunder. Un match qui a été celui de la résurrection pour Joël Embiid. Nullement impressionné, il marque 20 points, finit meilleur marqueur de son équipe et meilleur rebondeur avec sept ballons récupérés.
Cette prouesse a lancé la saison du jeune athlète âgé de 22 ans. Depuis, il a réalisé 15 matches en tant que titulaire, et a accumulé les récompenses. Il a fini sept fois meilleur marqueur des Sixers et six fois meilleur rebondeur. Joël Embiid est devenu une pièce maîtresse des Philadelphia 76ers.
Le natif de Yaoundé a déjà compilé 273 points et 114 rebonds. Il est le deuxième marqueur et le troisième meilleur rebondeur de l'équipe. C’est un retour tonitruant pour un rookie, même s’il a été drafté en 2014.
Une saison pour se (re)lancer
La patience des Philadelphia 76ers a payé. Des joueurs qui se blessent, il y en a tous les ans, mais des athlètes qui s’arrêtent deux années et qui reviennent à un haut niveau sont rares. Joël Embiid était LA star de la draft 2014, il aurait dû être drafté à la première place, selon les rumeurs de la NBA, mais à cause de sa fracture au pied droit, ce sont les Sixers qui parient sur lui et le prennent en troisième position.
Deux ans à attendre, deux années à espérer, car après la première saison blanche, le Camerounais pensait revenir sur les parquets, mais des complications ont dû l’obliger à se faire réopérer, ce qui lui a coûté une deuxième saison sans NBA. Sur cet exercice 2016/2017, il n’y avait plus le choix, un tout ou rien pour le basketteur de 22 ans.
Découvert lors d’un camp d’entraînement de basket-ball de Luc Mbah a Moute, autre star camerounaise de la NBA, Joël Embiid a un talent indéniable. Il n’a d’ailleurs passé qu’une année à l’université sous les couleurs des Kansas Jayhawks avant de se présenter à la draft. Il prouve cette saison qu’il peut être un des éléments importants des Sixers avec qui il avait signé un contrat de plus de 19 millions de dollars sur 4 ans, se terminant en 2018.
Une saison pour se (re)lancer
La patience des Philadelphia 76ers a payé. Des joueurs qui se blessent, il y en a tous les ans, mais des athlètes qui s’arrêtent deux années et qui reviennent à un haut niveau sont rares. Joël Embiid était LA star de la draft 2014, il aurait dû être drafté à la première place, selon les rumeurs de la NBA, mais à cause de sa fracture au pied droit, ce sont les Sixers qui parient sur lui et le prennent en troisième position.
Deux ans à attendre, deux années à espérer, car après la première saison blanche, le Camerounais pensait revenir sur les parquets, mais des complications ont dû l’obliger à se faire réopérer, ce qui lui a coûté une deuxième saison sans NBA. Sur cet exercice 2016/2017, il n’y avait plus le choix, un tout ou rien pour le basketteur de 22 ans.
Découvert lors d’un camp d’entraînement de basket-ball de Luc Mbah a Moute, autre star camerounaise de la NBA, Joël Embiid a un talent indéniable. Il n’a d’ailleurs passé qu’une année à l’université sous les couleurs des Kansas Jayhawks avant de se présenter à la draft. Il prouve cette saison qu’il peut être un des éléments importants des Sixers avec qui il avait signé un contrat de plus de 19 millions de dollars sur 4 ans, se terminant en 2018.
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