La médiation des religieux n’a pas été le seul motif de la reculade du préfet de Dakar sur la marche de Benno Siggil Sénégal qui avait été interdite auparavant ,un arrêté préfectoral avait interdit toute manifestation sur Dakar les 03 et 04 avril 2010.
En effet, la détermination des opposants a été très payante. C’est la raison pour laquelle, l’autorité administrative a reculé. C’est ainsi qu’à 9 heures 45 minutes, un officier de la police s’est dirigé vers la presse. « La marche est maintenant autorisée », a-t-il lancé.
Auparavant, le chargé des affaires économiques au PIT avait été arrêté par la police et conduit au commissariat de Point E. «Quand je suis arrivé vers l’école normale supérieure, le policier m’a demandé où j’allais. Je lui ai répondu que je partais vers la Sicap Baobab. C’est au moment où je poursuivais ma route que le policier est venu m’arrêter pour me conduire à la police du Point E. Quelque temps après, quand je lisais mon journal, on m’a dit que la marche est autorisée », a raconté Ibrahima Séne.
Mais pour tous les leaders de l'opposition : « ce n’était pas la peine de dire que la marche est autorisée parce que nous aurions marché de gré ou de force ». L’opposition avait d’autres plans au cas où elle n’aurait pas réussi sa marche.
Des jeunes étaient pré- positionnés dans les différents quartiers de Dakar pour déclencher les hostilités. Ce sont ces jeunes qui avaient commencé avant dix (10) heures à mettre le feu à Grand Dakar, à la Sicap Rue 10 et à l’Université Cheik Anta Diop.
En effet, la détermination des opposants a été très payante. C’est la raison pour laquelle, l’autorité administrative a reculé. C’est ainsi qu’à 9 heures 45 minutes, un officier de la police s’est dirigé vers la presse. « La marche est maintenant autorisée », a-t-il lancé.
Auparavant, le chargé des affaires économiques au PIT avait été arrêté par la police et conduit au commissariat de Point E. «Quand je suis arrivé vers l’école normale supérieure, le policier m’a demandé où j’allais. Je lui ai répondu que je partais vers la Sicap Baobab. C’est au moment où je poursuivais ma route que le policier est venu m’arrêter pour me conduire à la police du Point E. Quelque temps après, quand je lisais mon journal, on m’a dit que la marche est autorisée », a raconté Ibrahima Séne.
Mais pour tous les leaders de l'opposition : « ce n’était pas la peine de dire que la marche est autorisée parce que nous aurions marché de gré ou de force ». L’opposition avait d’autres plans au cas où elle n’aurait pas réussi sa marche.
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