Les médecins regroupés au sein du Sames donnent le ton. Ils ont déclaré leur intention de poursuivre le combat contre l’Etat : «En tant que entité syndical, on va poursuivre le combat jusqu’à l’obtention de nos revendications parce qu’il est aujourd’hui temps que l’on matérialise les différents points qui ont été inscrits dans le protocole», a déclaré le Secrétaire général du Sames, Boly Diop.
Selon lui, seul le chef de l’Etat est en mesure de satisfaire leur doléance : «Il est question à ce qu’aujourd’hui, les médecins ne soient plus victimes d’une injustice par rapport au traitement élémentaire eu égard aux autres fonctionnaires de la hiérarchie A. Donc nous pensons que le président de la République qui est le chef suprême de cette nation est le seul qui puisse prendre à bras le corps le problème des médecines pour qu’il soit définitivement résolu et que nous, nous puissions retourner au travail», soutient-il.
M Diop a cependant reconnu qu’il y a des avancées mais reste convaincu que la balle est dans le camp de l’Etat puis que de leur côté, ils ont accompli leur part du marché : «Notre seul tort, c’est que nous travaillions au moment où les autres se partageaient le butin. Aujourd’hui, il est temps que l’on puisse regarder derrière et que les médecins, en soulageant la souffrance des populations aussi qu’on puisse soulager ses souffrances parce qu’il question de la survie du médecin», clame-t-il.
Selon lui, seul le chef de l’Etat est en mesure de satisfaire leur doléance : «Il est question à ce qu’aujourd’hui, les médecins ne soient plus victimes d’une injustice par rapport au traitement élémentaire eu égard aux autres fonctionnaires de la hiérarchie A. Donc nous pensons que le président de la République qui est le chef suprême de cette nation est le seul qui puisse prendre à bras le corps le problème des médecines pour qu’il soit définitivement résolu et que nous, nous puissions retourner au travail», soutient-il.
M Diop a cependant reconnu qu’il y a des avancées mais reste convaincu que la balle est dans le camp de l’Etat puis que de leur côté, ils ont accompli leur part du marché : «Notre seul tort, c’est que nous travaillions au moment où les autres se partageaient le butin. Aujourd’hui, il est temps que l’on puisse regarder derrière et que les médecins, en soulageant la souffrance des populations aussi qu’on puisse soulager ses souffrances parce qu’il question de la survie du médecin», clame-t-il.
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