
« C’est en pleine nuit que des individus qui sont du village ont envahi l’école pour y mettre le feu. Les flammes ont tout emporté. Car, avant que les voisins ne se réveillent pour tenter quoi que ce soit, le feu avait déjà pris le dessus », s’indigne celui qui a financé par ses propres moyens la construction des abris provisoires, Mamadou Diop par ailleurs président de l’Association nationale pour le développement de Boudouck.
Pointant du doigt certains individus du village, avec à la tête un maître coranique qui l’a à plusieurs reprises sommé de fermer son école à défaut de le voir incendier, Mamadou Diop qui indique avoir contacté la gendarmerie dès le lendemain de l’incident, informe dans les colonnes du journal « Le populaire » que l’enquête suit son cours. Selon toujours M. Diop, « ces gens n’ont jamais supporté la présence de l’école française dans le village pour la bonne et simple raison qu’elle porte préjudice leurs daaras qui commençaient à se vider ».
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