Momar Ndao est membre de la cellule de crise et de suivi psychologique. Il fait savoir que le Sénégal pourrait identifier tous ses morts d’ici la semaine prochaine. D’après le président de l’Association des Consommateurs du Sénégal (ASCOSEN) qui est par ailleurs dans la cellule médicale, le processus d’identification s’est accéléré depuis que les autorités Saoudiennes ont accepté la méthode des empreintes digitales.
«Depuis le début, j’avais demandé à ce qu’on dise à l’Arabie Saoudite d’utiliser les empreintes digitales des décédés pour les comparer au niveau de la base de données des pèlerins…Donc dès l’instant qu’on avait cette base de données, il était possible en prenant les empreintes des personnes décédées de voir tout de suite son nom et son adresse…Il a fallu que nos autorités insistent pour que l’Arabie Saoudite réagisse. Et depuis lors les choses s’accélèrent parce que c’est plus facile. Maintenant il se trouve qu’on ne peut pas voir certaines personnes qui ne font pas partie des morts mais qui sont portées disparues », déclare Momar Ndao.
Le membre de la cellule de crise et d’assistance psychologique de préciser sur la Rfm qu’ «Aujourd’hui le nombre de morts croit de manière très rapide parce que la méthode est plus fiable ». Fort de ce fait, il pense que «d’ici la semaine prochaine, cela va aller très très vite ». Un dernier bilan fait état de 54 morts Sénégalais dans la meurtrière bousculade de Mina (Mecque).
«Depuis le début, j’avais demandé à ce qu’on dise à l’Arabie Saoudite d’utiliser les empreintes digitales des décédés pour les comparer au niveau de la base de données des pèlerins…Donc dès l’instant qu’on avait cette base de données, il était possible en prenant les empreintes des personnes décédées de voir tout de suite son nom et son adresse…Il a fallu que nos autorités insistent pour que l’Arabie Saoudite réagisse. Et depuis lors les choses s’accélèrent parce que c’est plus facile. Maintenant il se trouve qu’on ne peut pas voir certaines personnes qui ne font pas partie des morts mais qui sont portées disparues », déclare Momar Ndao.
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