«Je voudrais rappeler que ce sont les acteurs politiques qui ont demandé la mise en place d’un dispositif de suivi du processus électoral. Mais ce n’est pas une structure qui entre dans le cadre des normes d’organisation des élections », a déclaré Benoît Sambou qui revenait sur la décision de l’opposition de boycotter le processus de suivi électoral.
Selon lui, ce dispositif permet simplement aux acteurs politiques de suivre ce qui se fait et d’apporter des suggestions. Ce qui le pousse à dire que «ce n’est pas une obligation pour les organisations politiques d’être dans le comité de suivi».
Et d’ajouter que c’était une demande que le ministère de l’Intérieur a accepté à l’image de ce qui s’était passé en 1997 lors de la refonte du fichier «où on avait mis en place un comité de veille qui n’avait aucun caractère obligatoire qui puisse remettre en cause la mise en œuvre du processus électoral».
M. Sambou de conclure en lançant un appel à l’opposition : «Nous invitons les partis membres de l’opposition et les non-alignés à rejoindre le dispositif parce que ce qui oppose aujourd’hui ces partis au ministère de l’Intérieur c’est la représentation des indépendants».
Selon lui, ce dispositif permet simplement aux acteurs politiques de suivre ce qui se fait et d’apporter des suggestions. Ce qui le pousse à dire que «ce n’est pas une obligation pour les organisations politiques d’être dans le comité de suivi».
Et d’ajouter que c’était une demande que le ministère de l’Intérieur a accepté à l’image de ce qui s’était passé en 1997 lors de la refonte du fichier «où on avait mis en place un comité de veille qui n’avait aucun caractère obligatoire qui puisse remettre en cause la mise en œuvre du processus électoral».
M. Sambou de conclure en lançant un appel à l’opposition : «Nous invitons les partis membres de l’opposition et les non-alignés à rejoindre le dispositif parce que ce qui oppose aujourd’hui ces partis au ministère de l’Intérieur c’est la représentation des indépendants».
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