«Le Comité Directeur du Parti Démocratique sénégalais se réjouit et apprécie à sa juste valeur la décision de la justice française qui a débouté l’État du Sénégal de sa demande de confiscation des biens de Karim Wade et de Ibrahim Aboukhalil dit Bibo Bourgi qui, lui, en réalité est poursuivi du seul délit de fidélité en amitié ». Ces propos découlent de la réunion du Comité directeur des libéraux d’hier.
Selon eux, par «ce verdict de Paris», précédé par ceux rendus par «la Haute cour de justice de la Cedeao, le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire ainsi que par la Doyenne des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris déclarant recevable la plainte pour détention arbitraire déposée par notre frère Karim Wade», c’est la justice sénégalaise qui a été discréditée.
Partant de cette «nouvelle victoire» sur l’Etat du Sénégal, les libéraux s’en sont pris aux juges sénégalais en charge de ce dossier car, les considérant être sous la botte de l’Exécutif : «…toutes les fois que les juges ne sont soumis à aucune autorité politique ou gouvernemental ils exercent leur mission avec honneur et impartialité, mais lorsqu’ils sont instrumentalisés par le pouvoir politique, comme c’est le cas dans les poursuites contre Karim Wade ils sont couchés, et oubliant leur vertu et le droit, rendent service à leurs maîtres».
Et de marteler : «Une quinzaine de juges de notre pays ont jeté le discrédit sur nos institutions, simplement pour plaire à Macky SALL qui, dans le seul dessein d’éliminer un adversaire politique, n’a pas hésité à violer la Constitution, toutes les lois de notre pays, les conventions et traités internationaux ratifiés par le Sénégal et intégrés dans son droit interne.
Ces juges qui ont entaché l’honneur de la justice de notre pays devraient être extirpés de la noble institution de la Justice, répondre de leur forfaiture et libérés de leur servitude».
Selon eux, par «ce verdict de Paris», précédé par ceux rendus par «la Haute cour de justice de la Cedeao, le Groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire ainsi que par la Doyenne des juges d’instruction du Tribunal de grande instance de Paris déclarant recevable la plainte pour détention arbitraire déposée par notre frère Karim Wade», c’est la justice sénégalaise qui a été discréditée.
Partant de cette «nouvelle victoire» sur l’Etat du Sénégal, les libéraux s’en sont pris aux juges sénégalais en charge de ce dossier car, les considérant être sous la botte de l’Exécutif : «…toutes les fois que les juges ne sont soumis à aucune autorité politique ou gouvernemental ils exercent leur mission avec honneur et impartialité, mais lorsqu’ils sont instrumentalisés par le pouvoir politique, comme c’est le cas dans les poursuites contre Karim Wade ils sont couchés, et oubliant leur vertu et le droit, rendent service à leurs maîtres».
Et de marteler : «Une quinzaine de juges de notre pays ont jeté le discrédit sur nos institutions, simplement pour plaire à Macky SALL qui, dans le seul dessein d’éliminer un adversaire politique, n’a pas hésité à violer la Constitution, toutes les lois de notre pays, les conventions et traités internationaux ratifiés par le Sénégal et intégrés dans son droit interne.
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