Le djihadiste malien Ahmad al Faqi al Mahdi doit payer 2,7 millions d'euros de dommages aux victimes de la destruction des mausolées de la cité historique de Tombouctou, dans le nord du Mali.
En Septembre 2016, il avait été condamné à neuf ans de prison par la Cour pénale internationale (CPI).
En 2012, il avait "dirigé intentionnellement des attaques" contre la porte de la mosquée Sidi Yahia et contre neuf des mausolées de Tombouctou, classés au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.
"La chambre ordonne des réparations individuelles, collectives et symboliques pour la communauté de Tombouctou, reconnaît que la destruction des bâtiments protégés a causé de la souffrance aux personnes à travers le Mali et la communauté internationale et estime M. Mahdi responsable pour les réparations à 2,7 millions d'euros", a déclaré le juge Raul Cano Pangalangan dans la lecture de son ordonnance.
En Septembre 2016, il avait été condamné à neuf ans de prison par la Cour pénale internationale (CPI).
En 2012, il avait "dirigé intentionnellement des attaques" contre la porte de la mosquée Sidi Yahia et contre neuf des mausolées de Tombouctou, classés au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.
"La chambre ordonne des réparations individuelles, collectives et symboliques pour la communauté de Tombouctou, reconnaît que la destruction des bâtiments protégés a causé de la souffrance aux personnes à travers le Mali et la communauté internationale et estime M. Mahdi responsable pour les réparations à 2,7 millions d'euros", a déclaré le juge Raul Cano Pangalangan dans la lecture de son ordonnance.
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