Le secrétaire général de la Confédération des syndicats autonomes du Sénégal (CSA), Elimane Diouf, adopte une posture de prudence à l’égard du pacte de stabilité sociale. Il réclame des réponses claires concernant la situation des agents décisionnaires de l’éducation et insiste sur le respect des accords signés avec le gouvernement.
« Nous sommes dans une phase de finalisation très serrée des engagements liés au pacte. Le gouvernement souhaite signer ce pacte avant le 1er mai ou à cette date. Toutefois, nous devons d’abord traiter les questions qui constituent nos priorités absolues et obtenir des réponses claires sur ces différents points : les licenciements abusifs, la situation des agents décisionnaires de l’éducation, ainsi que l’engagement à réviser les deux décrets permettant de régulariser leur statut », a déclaré Elimane Diouf.
Et monsieur Diouf d'ajouter : « Il s’agit de questions d’ordre général qui doivent impérativement être réglées avant la signature du pacte. La commission technique y travaille actuellement. Nous exigeons des engagements clairs sur ces points, sans quoi la signature pourrait être reportée afin de permettre la finalisation de ces discussions. Des négociations sont également en cours dans certains secteurs. Par exemple, dans le domaine de la santé, les discussions ne sont pas encore terminées, même si des engagements ont déjà été pris. Il en va de même pour le secteur des collectivités territoriales, où des décisions favorables sont en cours d’adoption ».
Le syndicaliste a aussi précisé qu’il existe des engagements forts qui doivent être concrétisés. « Concernant la santé, des engagements importants ont été pris, mais il faut désormais les traduire en actes. Les centrales syndicales restent ouvertes à la signature du pacte, à condition que des solutions concrètes soient trouvées sur les questions des licenciements, du statut des agents décisionnaires, mais surtout sur les négociations sectorielles, santé, secteur primaire, agriculture, pêche, etc. », a-t-il déclaré au micro d’iRadio.
« Nous sommes dans une phase de finalisation très serrée des engagements liés au pacte. Le gouvernement souhaite signer ce pacte avant le 1er mai ou à cette date. Toutefois, nous devons d’abord traiter les questions qui constituent nos priorités absolues et obtenir des réponses claires sur ces différents points : les licenciements abusifs, la situation des agents décisionnaires de l’éducation, ainsi que l’engagement à réviser les deux décrets permettant de régulariser leur statut », a déclaré Elimane Diouf.
Et monsieur Diouf d'ajouter : « Il s’agit de questions d’ordre général qui doivent impérativement être réglées avant la signature du pacte. La commission technique y travaille actuellement. Nous exigeons des engagements clairs sur ces points, sans quoi la signature pourrait être reportée afin de permettre la finalisation de ces discussions. Des négociations sont également en cours dans certains secteurs. Par exemple, dans le domaine de la santé, les discussions ne sont pas encore terminées, même si des engagements ont déjà été pris. Il en va de même pour le secteur des collectivités territoriales, où des décisions favorables sont en cours d’adoption ».
Le syndicaliste a aussi précisé qu’il existe des engagements forts qui doivent être concrétisés. « Concernant la santé, des engagements importants ont été pris, mais il faut désormais les traduire en actes. Les centrales syndicales restent ouvertes à la signature du pacte, à condition que des solutions concrètes soient trouvées sur les questions des licenciements, du statut des agents décisionnaires, mais surtout sur les négociations sectorielles, santé, secteur primaire, agriculture, pêche, etc. », a-t-il déclaré au micro d’iRadio.
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