Selon la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation en République centrafricaine, la Minusca, les éléments du groupe armé Siriri cherchent à prendre pied à Gamboula et en particulier à la gendarmerie de cette localité.
« Les soldats de la paix de la Minusca ont été informés par le commandant de la gendarmerie de Berbérati d’un déplacement d’éléments armés d’un groupe qui s’appelle Siriri, vers Gamboula, a affirmé à RFI Vladimir Monteiro, le porte-parole de la Minusca. Selon les informations reçues, ils voudraient s’installer dans la gendarmerie locale. Et dans le cadre de notre mandat, nous avons envoyé une patrouille ».
« Arrivés au village de Nassolé qui est à mi-chemin entre Berbérati et Gamboula, nous nous sommes heurtés à une barricade et à des tirs des éléments de ce groupe. Nous avons riposté, poursuit Vladimir Monteiro. Il y a des pertes parmi ces assaillants, ce sont des éléments qui ont constitué ce groupe il y a quelque temps, qui se sont installés dans cette zone. Leur plan de marcher sur Gamboula et prendre une institution était quelque chose d’inadmissible pour nous. Et nous avons dû intervenir. Entretemps, la Minusca travaille avec le préfet pour résoudre définitivement ce problème que constitue le groupe civil, mais également relevant des détails dans cette zone qui est à l’origine de beaucoup de conflits ».
« Les soldats de la paix de la Minusca ont été informés par le commandant de la gendarmerie de Berbérati d’un déplacement d’éléments armés d’un groupe qui s’appelle Siriri, vers Gamboula, a affirmé à RFI Vladimir Monteiro, le porte-parole de la Minusca. Selon les informations reçues, ils voudraient s’installer dans la gendarmerie locale. Et dans le cadre de notre mandat, nous avons envoyé une patrouille ».
« Arrivés au village de Nassolé qui est à mi-chemin entre Berbérati et Gamboula, nous nous sommes heurtés à une barricade et à des tirs des éléments de ce groupe. Nous avons riposté, poursuit Vladimir Monteiro. Il y a des pertes parmi ces assaillants, ce sont des éléments qui ont constitué ce groupe il y a quelque temps, qui se sont installés dans cette zone. Leur plan de marcher sur Gamboula et prendre une institution était quelque chose d’inadmissible pour nous. Et nous avons dû intervenir. Entretemps, la Minusca travaille avec le préfet pour résoudre définitivement ce problème que constitue le groupe civil, mais également relevant des détails dans cette zone qui est à l’origine de beaucoup de conflits ».
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