A 24 heures du combat Modou Lô-Bombardier, la tension est grande dans le camp du Mbourois. Ce dernier qui se méfie comme jamais de son adversaire, ne fait confiance à personne, y compris la presse. Les journalistes venus de Dakar hier, pour couvrir l’open presse de B52 au stade Caroline Faye de Mbour en ont fait les frais. En effet, il leur a été interdit de s’approcher de Bombardier à moins de 2 mètres. Cela, par peur des pratiques mystiques.
Le staff de Bombardier soupçonnait les journalistes venus de la capitale d’être de connivence avec Modou Lô, réputé très dangereux sur le plan mystique. Ainsi, pour la conférence de presse d’après entrainement, ce sont les journalistes basés à Mbour dont les correspondants des groupes de presse, qui ont été mis au premier rang, à côté des caméramen. Les journalistes venus spécialement de Dakar quant à eux, ont été alignés derrière avec ordre de rester bien à l’écart de Bombardier s’ils tenaient à rentrer en un seul morceau.
Il a fallu au staff du lutteur presque une vingtaine de minutes après l’entraînement pour démarrer la conférence de presse. Cela, dans une ambiance de tension palpable, car à plusieurs reprises, les choses ont failli dégénérer entre journalistes et les préposés à l’organisation.
Interpellé lors du face à face par les confrères sur cette attitude de son staff, Bombardier a rétorqué que ce n’est pas de la discrimination mais juste un souci d’organisation. Paranoïa quand tu nous tiens !
Le staff de Bombardier soupçonnait les journalistes venus de la capitale d’être de connivence avec Modou Lô, réputé très dangereux sur le plan mystique. Ainsi, pour la conférence de presse d’après entrainement, ce sont les journalistes basés à Mbour dont les correspondants des groupes de presse, qui ont été mis au premier rang, à côté des caméramen. Les journalistes venus spécialement de Dakar quant à eux, ont été alignés derrière avec ordre de rester bien à l’écart de Bombardier s’ils tenaient à rentrer en un seul morceau.
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