Les combats de lutte au Sénégal sont marqués par l'utilisation abusive de gris gris. Tout sorte de "xons" est utilisé pour maitriser mystiquement son adversaire.Quel serait l’intérêt d’un combat de lutte sans son cérémonial, son attirail de rituels et de croyances qui donnent à l’évènement toute sa substance, toute sa tension, sa magie ? Au Sénégal, le « xoon » (ou « xoromsi », « xondiomes »), héritage bien vivant de croyances animistes, n’est pas un folklore mais un véritable fait de société.
Qu’on y croit ou non, pratiques obscures pour les uns, hygiène de vie pour les autres, ces rituels magico religieux font partie de notre quotidien.
Certains esprits des plus rationnels reconnaissent qu’ils y croient, chacun a au moins un exemple pour témoigner de l’existence de tel ou tel procédé surnaturel. Le CNG de lutte a lancé l'alerte et a menacé les lutteurs à limiter leur gris gris dans l’arène.
Qu’on y croit ou non, pratiques obscures pour les uns, hygiène de vie pour les autres, ces rituels magico religieux font partie de notre quotidien.
Certains esprits des plus rationnels reconnaissent qu’ils y croient, chacun a au moins un exemple pour témoigner de l’existence de tel ou tel procédé surnaturel. Le CNG de lutte a lancé l'alerte et a menacé les lutteurs à limiter leur gris gris dans l’arène.
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