Abdoulaye Diouf Sarr, ancien ministre de la Santé et de l’Action sociale de Macky Sall, est revenu ce dimanche 28 septembre sur l’élection présidentielle de 2024, sur la radio Sud fm, au cours de l’émission «Objection». Il estime que la défaite du camp Amadou Ba, pour qui il a battu campagne, est due à «la non préparation» du candidat et «un manque de solidarité dans le dispositif» de l’ancienne coalition au pouvoir.
«Avec le recul, je l'ai dit dans le livre (Sans bruit, ndlr), il y avait effectivement de la non-préparation. Il y avait un groupe qui n'était pas soudé (…) C'était donc une défaite quasi programmée», a dit Diouf Sarr, pour qui son «candidat n'a pas été totalement soutenu».
En ce qui concerne le projet de report de la présidentielle de 2024, l’ancien ministre pense que «ce n’était bien inspiré» par Macky Sall. «On pouvait noter que l'opinion avait commencé à s'interroger et à se dire que nous devons nous radicaliser pour empêcher ça. Mais en plus de l'opinion, on a le système judiciaire aussi qui s’était radicalisé. Et je pense quand même qu'au plan stratégique, ce n'était pas une bonne chose», a-t-il expliqué.
Face à la situation socio-politique du pays, où «l'on semble oublier les priorités et aller à l'essentiel», il a enfin invité les autorités à «travailler» pour «que le Sénégal regagne sa place dans le concert des nations».
«Avec le recul, je l'ai dit dans le livre (Sans bruit, ndlr), il y avait effectivement de la non-préparation. Il y avait un groupe qui n'était pas soudé (…) C'était donc une défaite quasi programmée», a dit Diouf Sarr, pour qui son «candidat n'a pas été totalement soutenu».
En ce qui concerne le projet de report de la présidentielle de 2024, l’ancien ministre pense que «ce n’était bien inspiré» par Macky Sall. «On pouvait noter que l'opinion avait commencé à s'interroger et à se dire que nous devons nous radicaliser pour empêcher ça. Mais en plus de l'opinion, on a le système judiciaire aussi qui s’était radicalisé. Et je pense quand même qu'au plan stratégique, ce n'était pas une bonne chose», a-t-il expliqué.
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