L'opposant Cellou Dalein Diallo a vivement réagi à la condamnation du président du Model, Aliou Bah, à deux ans de prison ferme. L'ancien Premier ministre guinéen a critiqué cette décision, qu'il qualifie d’une « farce judiciaire ».
« Je dénonce la farce judiciaire qui s’est jouée ce mardi 07 janvier 2025 au Tribunal de Première Instance de Kaloum. Sur la base d’accusations aussi grotesques qu’inquiétantes, le Président du Model, Aliou BAH, a été condamné à deux ans de prison ferme pour offense au Chef de l’Etat », a écrit sur Facebook, le leader de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG).
Selon Cellou Dalein, Aliou Bah a exercé un droit fondamental dans un pays où les libertés se meurent à petit feu.
« Dénoncer les dérives autoritaires et les atteintes systématiques aux droits humains perpétrées par une junte ivre de pouvoir. Cette sentence absurde, digne des régimes les plus liberticides, ne saurait être interprétée autrement que comme une déclaration de guerre ouverte contre la liberté d’expression et une tentative d’intimidation orchestrée pour réduire toute opposition au silence », a fustigé l’ancien Premier ministre.
Selon lui, « ce verdict révoltant marque une journée funeste pour la démocratie, les libertés et les droits humains en Guinée ». « Il vient s’ajouter à la longue liste des actes autoritaires et liberticides d’un pouvoir prêt à tout pour faire taire toutes les voix dissonantes », a dit le Président de l'UFDG.
Toutefois, M. Diallo condamne avec la plus grande fermeté cette « mascarade judiciaire et exige la libération immédiate et inconditionnelle du Président du Model ».
« Le peuple guinéen ne se laissera pas réduire au silence par la terreur judiciaire d’une junte aux abois », a conclu l’opposant guinéen.
« Je dénonce la farce judiciaire qui s’est jouée ce mardi 07 janvier 2025 au Tribunal de Première Instance de Kaloum. Sur la base d’accusations aussi grotesques qu’inquiétantes, le Président du Model, Aliou BAH, a été condamné à deux ans de prison ferme pour offense au Chef de l’Etat », a écrit sur Facebook, le leader de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée (UFDG).
Selon Cellou Dalein, Aliou Bah a exercé un droit fondamental dans un pays où les libertés se meurent à petit feu.
« Dénoncer les dérives autoritaires et les atteintes systématiques aux droits humains perpétrées par une junte ivre de pouvoir. Cette sentence absurde, digne des régimes les plus liberticides, ne saurait être interprétée autrement que comme une déclaration de guerre ouverte contre la liberté d’expression et une tentative d’intimidation orchestrée pour réduire toute opposition au silence », a fustigé l’ancien Premier ministre.
Selon lui, « ce verdict révoltant marque une journée funeste pour la démocratie, les libertés et les droits humains en Guinée ». « Il vient s’ajouter à la longue liste des actes autoritaires et liberticides d’un pouvoir prêt à tout pour faire taire toutes les voix dissonantes », a dit le Président de l'UFDG.
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