Le Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal a réagi au nouveau report de leur procès contre les plateformes de Véhicules de Transport avec Chauffeur (VTC) au 14 avril prochain. Déterminés à poursuivre leur combat, les chauffeurs de taxis dénoncent une concurrence jugée déloyale et appellent les autorités à agir.
« Le Regroupement des taxis urbains du Sénégal va continuer son combat pour pousser les autorités de ce pays de prendre des mesures nécessaires pour éliminer ce transport irrégulier et cette concurrence déloyale, favorisée par les multinationales », a déclaré Malick Diop, secrétaire général du Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal.
Face aux difficultés croissantes rencontrées par les chauffeurs, une concertation avec les acteurs du transport, les organisations syndicales et les présidents de regroupements est envisagée pour pousser les autorités à prendre des mesures adéquates. « En ce moment, les chauffeurs traversent des moments difficiles avec cette concurrence déloyale. On arrive plus à s’en sortir », a-t-il confié à PressAfrik.
Notre problème, dit-il, c’est le silence complice de la part des autorités qui devaient prendre ces mesures parce que l’affaire ne devrait pas arriver au niveau des tribunaux. « Seules les autorités habitées à organiser le secteur du transport pouvaient prendre des décisions pour rappeler à l’ordre ces multinationales qui sont venues bafouées les lois et règlements qui régissent le système du transport au Sénégal », a indiqué Malick Diop.
Le Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal dit rester mobilisé jusqu'à ce que la justice soit rendue et que des mesures concrètes soient prises pour garantir des conditions de travail équitables.
« En tant qu'acteurs, nous allons continuer notre lutte jusqu’à la justice dise le droit. On ne peut plus accepter que des gens viennent dans notre secteur sans se conformer avec les lois qui régissent le système du transport (…) le regroupement des taxis urbains du Sénégal est plus que jamais déterminé à poursuivre cette lutte pour qu’on puisse trouver de meilleures solutions afin de permettre aux transporteurs de travailler tranquillement et gagner leur vie tranquillement », a laissé entendre M. Diop.
« Le Regroupement des taxis urbains du Sénégal va continuer son combat pour pousser les autorités de ce pays de prendre des mesures nécessaires pour éliminer ce transport irrégulier et cette concurrence déloyale, favorisée par les multinationales », a déclaré Malick Diop, secrétaire général du Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal.
Face aux difficultés croissantes rencontrées par les chauffeurs, une concertation avec les acteurs du transport, les organisations syndicales et les présidents de regroupements est envisagée pour pousser les autorités à prendre des mesures adéquates. « En ce moment, les chauffeurs traversent des moments difficiles avec cette concurrence déloyale. On arrive plus à s’en sortir », a-t-il confié à PressAfrik.
Notre problème, dit-il, c’est le silence complice de la part des autorités qui devaient prendre ces mesures parce que l’affaire ne devrait pas arriver au niveau des tribunaux. « Seules les autorités habitées à organiser le secteur du transport pouvaient prendre des décisions pour rappeler à l’ordre ces multinationales qui sont venues bafouées les lois et règlements qui régissent le système du transport au Sénégal », a indiqué Malick Diop.
Le Regroupement des Taxis Urbains du Sénégal dit rester mobilisé jusqu'à ce que la justice soit rendue et que des mesures concrètes soient prises pour garantir des conditions de travail équitables.
« En tant qu'acteurs, nous allons continuer notre lutte jusqu’à la justice dise le droit. On ne peut plus accepter que des gens viennent dans notre secteur sans se conformer avec les lois qui régissent le système du transport (…) le regroupement des taxis urbains du Sénégal est plus que jamais déterminé à poursuivre cette lutte pour qu’on puisse trouver de meilleures solutions afin de permettre aux transporteurs de travailler tranquillement et gagner leur vie tranquillement », a laissé entendre M. Diop.
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