« Ce que nous attendons des autorités, c’est qu’ils nous aident au moins à assainir la zone. Mais assainir la zone ne veut pas dire se limiter à ce que l’on voit seulement. Il faut pénétrer dans le cœur du problème et essayer de régler », martèle Ibrahima Ndiaye, enseignant logé en plein milieu d’un champ d’ordures qui s’étend à perte de vue à Boustane 2, selon le journal « Le Populaire ».
Plus loin il ajoute : « Et le problème numéro un, c’est l’électricité. Il n’y a pas d’électricité dans la zone, la nuit il fait excessivement noir. Ensuite, il n’y a pas d’eau. Toutes les concessions ici ne sont pas pourvues en eau, seuls les premiers venus bénéficient d’eau et d’électricité. Nous, nous n’en avons pas ».
Plus loin il ajoute : « Et le problème numéro un, c’est l’électricité. Il n’y a pas d’électricité dans la zone, la nuit il fait excessivement noir. Ensuite, il n’y a pas d’eau. Toutes les concessions ici ne sont pas pourvues en eau, seuls les premiers venus bénéficient d’eau et d’électricité. Nous, nous n’en avons pas ».
Autres articles
-
Baisse des carburants : les distributeurs autorisés à appliquer des tarifs inférieurs dans le respect de la réglementation
-
Crise à l’Université : l’AEEMS s’inquiète des tensions et appelle au dialogue et à la retenue
-
Baisse des prix du carburant : les nouveaux tarifs appliqués dès ce samedi
-
Kolda : le conseil départemental adopte un budget 2026 de plus de 500 millions FCFA
-
Vol de bétail à Bambilor : la Gendarmerie interpelle un individu, huit (8) vaches récupérées




Baisse des carburants : les distributeurs autorisés à appliquer des tarifs inférieurs dans le respect de la réglementation


