Dans le prolongement des messages portés à la 70e Assemblée générale des Nations Unies en septembre, Macky Sall ‘’insistera, entre autres, sur la nécessité de la mobilisation des ressources et de la transition énergétique", note le communiqué transmis à l'APS. Plus de 100 chefs d’État et de gouvernement prendront part à l’ouverture de la COP 21 qui se tient sur le site de Paris le Bourget, du 30 novembre au 11 décembre prochain. Cette participation fait de cette rencontre sur le climat l’une des plus importantes conférences diplomatiques jamais organisées en dehors des assemblées générales des Nations unies à New York.
Et, durant deux semaines, 196 parties négocieront pour tenter de parvenir à un accord universel sur le climat afin de contenir le réchauffement climatique à 2°. Cet accord universel doit définir des règles et des mécanismes capables de relever progressivement l’ambition pour respecter l’objectif d’une hausse des températures inférieure à 1.5 ou 2°C. Les experts climatiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estiment qu’un réchauffement supérieur à 2°C entraînerait des conséquences graves, comme la multiplication des événements climatiques extrêmes. Lors du sommet de Copenhague (Danemark) en 2009, les pays avaient affirmé leur volonté de limiter le réchauffement climatique à 2°C d’ici 2100. Lors de ses intervention, le chef de l’Etat ‘’reviendra plus en détail sur les défis actuels incluant l’érosion côtière, la désertification, l’ensablement, la sécheresse, les inondations et le défi énergétique’’.
A Paris, devant ses homologues, Macky Sall va insister ‘’sur la nécessité d’arriver à un accord contraignant juste et équitable’’ et il rappellera à cet effet, ‘’l’importance de ne pas reproduire les mêmes modes de production et de consommation dans les pays industrialisés, notamment en matière d’énergies’’. La présidence sénégalaise assure que le chef de l’Etat ‘’œuvre pour un accord fondé sur les principes de la responsabilité commune, mais différenciée suivant le principe du pollueur payeur et des capacités respectives des Parties en vue d’un changement de paradigme pour le développement (durable) en Afrique’’. Rappelons que le président de la République, a été officiellement chargé par les maires francophones ‘’de porter leurs voix au sommet de Paris’’ c'était à l’issue d’une rencontre de l’Association internationale des maires francophones tenue à Dakar, en septembre 2015.
Et, durant deux semaines, 196 parties négocieront pour tenter de parvenir à un accord universel sur le climat afin de contenir le réchauffement climatique à 2°. Cet accord universel doit définir des règles et des mécanismes capables de relever progressivement l’ambition pour respecter l’objectif d’une hausse des températures inférieure à 1.5 ou 2°C. Les experts climatiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estiment qu’un réchauffement supérieur à 2°C entraînerait des conséquences graves, comme la multiplication des événements climatiques extrêmes. Lors du sommet de Copenhague (Danemark) en 2009, les pays avaient affirmé leur volonté de limiter le réchauffement climatique à 2°C d’ici 2100. Lors de ses intervention, le chef de l’Etat ‘’reviendra plus en détail sur les défis actuels incluant l’érosion côtière, la désertification, l’ensablement, la sécheresse, les inondations et le défi énergétique’’.
A Paris, devant ses homologues, Macky Sall va insister ‘’sur la nécessité d’arriver à un accord contraignant juste et équitable’’ et il rappellera à cet effet, ‘’l’importance de ne pas reproduire les mêmes modes de production et de consommation dans les pays industrialisés, notamment en matière d’énergies’’. La présidence sénégalaise assure que le chef de l’Etat ‘’œuvre pour un accord fondé sur les principes de la responsabilité commune, mais différenciée suivant le principe du pollueur payeur et des capacités respectives des Parties en vue d’un changement de paradigme pour le développement (durable) en Afrique’’. Rappelons que le président de la République, a été officiellement chargé par les maires francophones ‘’de porter leurs voix au sommet de Paris’’ c'était à l’issue d’une rencontre de l’Association internationale des maires francophones tenue à Dakar, en septembre 2015.
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