
Intervenant ce dimanche sur les ondes de la RFM dans l’émission « Grand Jury de Dimanche », Momath Talla Ndao, secrétaire d’État chargé de l’Urbanisme, a apporté des clarifications sur les priorités de l’actuel gouvernement. Si la criminalisation de l’homosexualité reste un engagement politique, elle ne figure pas au sommet de l’agenda gouvernemental immédiat.
« La criminalisation, c’est un engagement qui sera tenu », a affirmé M. Ndao, répondant à une question sur la place de ce dossier dans l’action gouvernementale. Toutefois, il a précisé que « la question de la reddition des comptes, les deniers publics, ce sont des dossiers urgents parce que nous devons financer l’économie, l’éducation, la santé… c’est des urgences qu’il faut gérer ».
Une déclaration qui semble marquer un tournant dans la hiérarchisation des priorités du régime, désormais focalisé sur le redressement économique et la transparence dans la gestion des finances publiques. Le secrétaire d’État a insisté sur la nécessité pour l’État de recouvrer les fonds publics détournés , afin de créer des marges de manœuvre budgétaires pour relancer des secteurs clés du pays.
« C’est ce processus que nous sommes en train de suivre », a-t-il expliqué, tout en réaffirmant la volonté du gouvernement de rester fidèle aux engagements pris pendant la période d’opposition. Une manière de rassurer une opinion publique souvent méfiante quant à la cohérence des discours avant et après l’accession au pouvoir.
Dans un contexte économique tendu, ces déclarations laissent entendre que les sujets sociétaux, bien qu'importants pour une partie de la population, devront attendre que les urgences économiques et institutionnelles soient adressées. Le message est clair : pour les nouvelles autorités, la priorité est à la transparence, à la rigueur budgétaire et au développement.
« La criminalisation, c’est un engagement qui sera tenu », a affirmé M. Ndao, répondant à une question sur la place de ce dossier dans l’action gouvernementale. Toutefois, il a précisé que « la question de la reddition des comptes, les deniers publics, ce sont des dossiers urgents parce que nous devons financer l’économie, l’éducation, la santé… c’est des urgences qu’il faut gérer ».
Une déclaration qui semble marquer un tournant dans la hiérarchisation des priorités du régime, désormais focalisé sur le redressement économique et la transparence dans la gestion des finances publiques. Le secrétaire d’État a insisté sur la nécessité pour l’État de recouvrer les fonds publics détournés , afin de créer des marges de manœuvre budgétaires pour relancer des secteurs clés du pays.
« C’est ce processus que nous sommes en train de suivre », a-t-il expliqué, tout en réaffirmant la volonté du gouvernement de rester fidèle aux engagements pris pendant la période d’opposition. Une manière de rassurer une opinion publique souvent méfiante quant à la cohérence des discours avant et après l’accession au pouvoir.
Dans un contexte économique tendu, ces déclarations laissent entendre que les sujets sociétaux, bien qu'importants pour une partie de la population, devront attendre que les urgences économiques et institutionnelles soient adressées. Le message est clair : pour les nouvelles autorités, la priorité est à la transparence, à la rigueur budgétaire et au développement.
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