En octobre dernier, le projet de l’ONU pour un gouvernement d’union nationale en Libye avait été rejeté par les deux parties en conflit, à savoir le Congrès général national à Tripoli et le Parlement de Tobrouk.
Pourtant, c’est sur cette même base que les voisins de la Libye, Algérie en tête, voudraient que les Libyens s’entendent.
L’Algérie réitère ainsi son appui au processus en cours sous l’égide des Nations unies dont l'envoyé spécial pour la Libye, Martin Kobler, sera présent, ce mardi, à Alger. L’Algérie avait déjà accueilli, en mars dernier, la première réunion qui rassemblait les différentes parties libyennes.
Le danger représenté par la montée des jihadistes liés à al-Qaïda ainsi qu’à l’organisation Etat islamique a fortement augmenté. Il sera également discuté, ce mardi, à Alger.
Bien que les appels à une intervention militaire en Libye se soient multipliés, récemment, de la part des voisins sahéliens mais aussi de l’Egypte et de l’Italie, Alger, officiellement, ne veut pas en entendre parler. Elle insiste plutôt sur l'urgence d'un règlement politique afin que le problème du terrorisme soit réglé par le futur gouvernement libyen d'union nationale, avec le soutien de la communauté internationale et de ses voisins.
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