Le ministre du Commerce par ailleurs coordonnateur des cadres de l’Alliance des Forces de Progrès (AFP) qui s'est dit « choqué » par l’attitude de certains députés de l’opposition, a regretté « les propos désobligeants » contre le Président de l’Assemblée nationale, lors de l’installation de la commission ad hoc pour la levée de l’immunité parlementaire de Khalifa Sall, indique que « dans les pays où les institutions désacralisées, il n’y a plus d’Etat, ni de sécurité ».
«Nous avons tous été choqués et outrés par les propos qui sont aux antipodes de nos valeurs et traditions tenus par les députés à l’Assemblée nationale », a déclaré Alioune Sarr
Et d’ajouter: « Le Sénégal ne s’appelle pas pour rien pays de la Téranga. La Téranga est un concept, un ensemble de valeurs structurant bien une pensée, une manière d’être et de se comporter devant des personnes plus âgées, plus expérimentées, devant des personnalités incarnant une institution, comme l’Assemblée nationale, le deuxième du pays ».
Selon le maire de Notto Diobass, dans les colonnes de "l'Observateur", «ce qui a été dit à l’Assemblée nationale contre son président, le secrétaire général de l’Afp, Moustapha Niass, reste à jamais gravé dans le registre des actes manqués ».
Alioune Sarr de marteler qu'en «en choisissant de s’attaquer ouvertement au président Moustapha Niass, leurs auteurs et leurs commanditaires ont révélé leurs véritables desseins de casser la dynamique unitaire qui structure la coalition ‘’Benno bokh yaakhaar’’ (Bby), les relations entre Moustapha Niass et le président Macky Sall ».
«Nous avons tous été choqués et outrés par les propos qui sont aux antipodes de nos valeurs et traditions tenus par les députés à l’Assemblée nationale », a déclaré Alioune Sarr
Et d’ajouter: « Le Sénégal ne s’appelle pas pour rien pays de la Téranga. La Téranga est un concept, un ensemble de valeurs structurant bien une pensée, une manière d’être et de se comporter devant des personnes plus âgées, plus expérimentées, devant des personnalités incarnant une institution, comme l’Assemblée nationale, le deuxième du pays ».
Selon le maire de Notto Diobass, dans les colonnes de "l'Observateur", «ce qui a été dit à l’Assemblée nationale contre son président, le secrétaire général de l’Afp, Moustapha Niass, reste à jamais gravé dans le registre des actes manqués ».
Alioune Sarr de marteler qu'en «en choisissant de s’attaquer ouvertement au président Moustapha Niass, leurs auteurs et leurs commanditaires ont révélé leurs véritables desseins de casser la dynamique unitaire qui structure la coalition ‘’Benno bokh yaakhaar’’ (Bby), les relations entre Moustapha Niass et le président Macky Sall ».
Autres articles
-
Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"
-
Ousmane Sonko met fin aux spéculations sur son éligibilité : « Rien ne peut m’empêcher d’être candidat »
-
Fonds alloués aux victimes de 2021-2024 : seulement 1,8 milliard débloqué, Maimouna Dièye s’explique sur les retards
-
Bénin : Patrice Talon assure avoir "nettoyé les dernières poches de résistance des mutins"
-
Tentative de coup d’Etat au Bénin : la CEDEAO "a ordonné le déploiement immédiat d'éléments de la Force en attente"




Sonko s'attaque au système judiciaire : "nous avons besoin de magistrats sérieux, pas des comploteurs"


