Les limiers de la Sureté urbaine de Dakar continuent lentement, mais surement leurs investigations pour lever les zones d’ombre qui planent sur la mort de Maty Mbodj. Leur travail de fourmi les a conduits à arrêter puis placer en garde à vue deux des proches de la défunte.
A. Diagne et T. Ngom, tous résidants au centre-ville de Dakar, les deux hommes arrêtées, sont accusés de délits de non-assistance à personne en danger, destruction et dissimulation d’éléments de preuve. En effet, cette garde à vue semble indiquer qu’ils étaient sur les lieux au moment de la mort du mannequin, mais n’ont pas porté assistance à Maty Mbodj (non-assistance à personne en danger), le second acte d’accusation, destruction et dissimulation d’éléments de preuve, laisse supposer que les deux personnes citées ont tenté d’effacer les traces de leur présence au moment du décès du mannequin.
Maty Mbodj avait été retrouvée morte le 23 juillet dernier dans un appartement situé au centre-ville. L’enquête est confiée aux éléments du commissaire Ibrahima Diop qui ont rapidement écarté la thèse d’une mort naturelle, d’autant plus que les résultats partiels de l’autopsie avaient fait état de la présence de traces de stupéfiants. Cette affaire a déjà conduit deux Nigérians en prison.
A. Diagne et T. Ngom, tous résidants au centre-ville de Dakar, les deux hommes arrêtées, sont accusés de délits de non-assistance à personne en danger, destruction et dissimulation d’éléments de preuve. En effet, cette garde à vue semble indiquer qu’ils étaient sur les lieux au moment de la mort du mannequin, mais n’ont pas porté assistance à Maty Mbodj (non-assistance à personne en danger), le second acte d’accusation, destruction et dissimulation d’éléments de preuve, laisse supposer que les deux personnes citées ont tenté d’effacer les traces de leur présence au moment du décès du mannequin.
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