La question du cumul de mandat va se poursuivre ce jeudi au sein du dialogue national. La position des non-alignés est claire. En 2024, le président de la République, une fois élu, avant de prêter serment, il doit démissionner de ses fonctions de chef de parti.
« Il n’est pas question que celui qui va revenir en 2024, continue d’être et le chef de l’Etat et chef d’un parti ». C’est la position claire des non-alignés qui estiment que le cumul doit être supprimé.
Selon eux, pour protéger le président de la République qui est une institution, il faudrait que sa posture soit claire. Quand il agit ou qu’il parle que l’on puisse savoir exactement que c’est le chef de l’Etat qui parle.
Qu’il n’y ait pas de confusion possible. C’est la raison pour laquelle, ils disent avoir proposé cette suppression.
« Il n’est pas question que celui qui va revenir en 2024, continue d’être et le chef de l’Etat et chef d’un parti ». C’est la position claire des non-alignés qui estiment que le cumul doit être supprimé.
Selon eux, pour protéger le président de la République qui est une institution, il faudrait que sa posture soit claire. Quand il agit ou qu’il parle que l’on puisse savoir exactement que c’est le chef de l’Etat qui parle.
Qu’il n’y ait pas de confusion possible. C’est la raison pour laquelle, ils disent avoir proposé cette suppression.
Autres articles
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030
-
Situation du Sénégal : « Ousmane Sonko est aussi bien responsable que le Président Diomaye », selon Ahmeth Diallo, leader « Gox yu Bess »
-
La France et le Sénégal veulent un « partenariat rénové », selon l’ambassadrice Christine Fages
-
Décret renforçant la Primature : " Diomaye et Sonko veulent contrôler tout le pouvoir" (Ahmeth Diallo)
-
Cédéao : stabilité politique et sécurité au cœur du sommet ouest-africain




68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030


