« Je m'adresse à nos forces armées: vous vous battez pour la patrie, pour son avenir », a dit Vladimir Poutine face aux milliers de soldats participant au défilé. Revenant sur sa décision de lancer ses forces en Ukraine le 24 février, il a répété que les autorités ukrainiennes préparaient une attaque contre des séparatistes pro-russes dans l'est du pays, qu’ils voulaient se doter de la bombe atomique et qu’ils étaient soutenus par l'Otan, menace existentielle pour la Russie.
« Une menace absolument inacceptable se constituait, directement à nos frontières », a-t-il affirmé, accusant encore une fois son voisin de néonazisme et qualifiant son offensive de « riposte préventive » et de « seule bonne décision ».
La Russie a repoussé préventivement l'agression. C'était une décision forcée, opportune et juste. La décision d'un pays souverain, fort et indépendant.
Deux mois et demi après avoir lancé ses forces contre son voisin, les combats se concentrent dans l'Est, la Russie ayant dû revoir à la baisse son ambition de prendre le pays et Kiev, sa capitale, face à la résistance acharnée des Ukrainiens, armés par les Occidentaux.
Des adversaires qualifiés de néonazis
Depuis l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine en 2000, la traditionnelle parade du 9 mai célèbre autant la victoire soviétique sur l'Allemagne nazie que la puissance russe retrouvée après l'humiliation de la chute de l'URSS. Le président russe s'efforce aussi de placer le conflit en Ukraine dans la droite ligne de 1945, qualifiant l'adversaire de néonazi.
Vladimir Poutine a également mis le 9 mai au cœur du patriotisme russe, alors que l'URSS a perdu jusqu'à 27 millions de ses citoyens durant la guerre. Face à ce bilan terrible, le président russe a souligné lundi que le devoir de la Russie était d'éviter une nouvelle guerre mondiale, alors que beaucoup craignent que le conflit en Ukraine dégénère.
« Notre dette est de garder la mémoire de ceux qui ont écrasé le nazisme (...) et de faire tout pour que l'horreur d'une guerre globale ne se répète pas », a-t-il dit.
« Une menace absolument inacceptable se constituait, directement à nos frontières », a-t-il affirmé, accusant encore une fois son voisin de néonazisme et qualifiant son offensive de « riposte préventive » et de « seule bonne décision ».
La Russie a repoussé préventivement l'agression. C'était une décision forcée, opportune et juste. La décision d'un pays souverain, fort et indépendant.
Deux mois et demi après avoir lancé ses forces contre son voisin, les combats se concentrent dans l'Est, la Russie ayant dû revoir à la baisse son ambition de prendre le pays et Kiev, sa capitale, face à la résistance acharnée des Ukrainiens, armés par les Occidentaux.
Des adversaires qualifiés de néonazis
Depuis l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine en 2000, la traditionnelle parade du 9 mai célèbre autant la victoire soviétique sur l'Allemagne nazie que la puissance russe retrouvée après l'humiliation de la chute de l'URSS. Le président russe s'efforce aussi de placer le conflit en Ukraine dans la droite ligne de 1945, qualifiant l'adversaire de néonazi.
Vladimir Poutine a également mis le 9 mai au cœur du patriotisme russe, alors que l'URSS a perdu jusqu'à 27 millions de ses citoyens durant la guerre. Face à ce bilan terrible, le président russe a souligné lundi que le devoir de la Russie était d'éviter une nouvelle guerre mondiale, alors que beaucoup craignent que le conflit en Ukraine dégénère.
« Notre dette est de garder la mémoire de ceux qui ont écrasé le nazisme (...) et de faire tout pour que l'horreur d'une guerre globale ne se répète pas », a-t-il dit.
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