Le président de la République a soigneusement évité tout sujet polémiste. Le contexte ne s'y prête guère. Avec une situation politique très précaire, les soubresauts d'une tension politico-sociale, Macky Sall a mis la pédale douce. Il ne s'est livré ni à un discours-bilan fleuve encore moins des sujets qui pourraient porter à équivoque et ajouter à la tension.
Subtilement, le chef de l'Etat a évoqué l'affaire Khalifa Ababacar Sall, maire de Dakar dont son incarcération a créé beaucoup de crispation et réveillé des activités, des irrédentistes ou les oppositions les plus irréductibles.
"Je poursuivrai sans relâche la politique de bonne gouvernance à tous les échelons de l’Etat et de ses démembrements", a-t-il lancé. Le président de la République a argumenté que "c’est en effet dans la bonne gestion des affaires publiques que nous pourrons mieux dépenser nos ressources, financer nos efforts d’émergence, satisfaire les besoins sociaux de nos populations, offrir à notre secteur privé les meilleures conditions d’épanouissement, et ouvrir à notre jeunesse de nouvelles perspectives d’éducation, de formation et d’emploi".
Même s'il a brossé le bilan, Macky Sall ne s'est pas prononcé sur les libertés notamment les restrictions des manifestations publiques mais aussi l'inflation galopante des denrées de premières nécessités. Il s'est plus appesanti sur la notion de "fête de l'armée nationale et de la jeunesse" sans oublier les fortes distinctions obtenues dans le domaine du Cinéma et de la culture.
Le chef de l'Etat va continuer à mener sa "campagne électorale déguisée". En effet, "je visiterai d’autres localités du pays dans les semaines et mois à venir". Dans le même sillage, il a déroulé une opération de charme en direction des chefs de villages. "J’ai demandé au gouvernement d’étudier les conditions de rémunération des Chefs de village, qui, en tant que relais indispensables de l’administration, exercent une mission de service public, souvent à leur propre charge".
Le président Macky Sall a, en outre, appelé les sénégalais à l'unité et à la cohésion nationale au moment les crispations sont nombreuses. "je tends la main à tous et à toutes, pour travailler ensemble, dans l’unité et la cohésion nationales".
Subtilement, le chef de l'Etat a évoqué l'affaire Khalifa Ababacar Sall, maire de Dakar dont son incarcération a créé beaucoup de crispation et réveillé des activités, des irrédentistes ou les oppositions les plus irréductibles.
"Je poursuivrai sans relâche la politique de bonne gouvernance à tous les échelons de l’Etat et de ses démembrements", a-t-il lancé. Le président de la République a argumenté que "c’est en effet dans la bonne gestion des affaires publiques que nous pourrons mieux dépenser nos ressources, financer nos efforts d’émergence, satisfaire les besoins sociaux de nos populations, offrir à notre secteur privé les meilleures conditions d’épanouissement, et ouvrir à notre jeunesse de nouvelles perspectives d’éducation, de formation et d’emploi".
Même s'il a brossé le bilan, Macky Sall ne s'est pas prononcé sur les libertés notamment les restrictions des manifestations publiques mais aussi l'inflation galopante des denrées de premières nécessités. Il s'est plus appesanti sur la notion de "fête de l'armée nationale et de la jeunesse" sans oublier les fortes distinctions obtenues dans le domaine du Cinéma et de la culture.
Le chef de l'Etat va continuer à mener sa "campagne électorale déguisée". En effet, "je visiterai d’autres localités du pays dans les semaines et mois à venir". Dans le même sillage, il a déroulé une opération de charme en direction des chefs de villages. "J’ai demandé au gouvernement d’étudier les conditions de rémunération des Chefs de village, qui, en tant que relais indispensables de l’administration, exercent une mission de service public, souvent à leur propre charge".
Le président Macky Sall a, en outre, appelé les sénégalais à l'unité et à la cohésion nationale au moment les crispations sont nombreuses. "je tends la main à tous et à toutes, pour travailler ensemble, dans l’unité et la cohésion nationales".
Autres articles
-
Déclaration de politique générale du PM Sonko et probable motion de censure : « les députés devraient être dans la même dynamique que le peuple »; Ayib Daffé,
-
Ayib Daffé sur les nominations : « Nous sommes dans la concrétisation du PROJET et non dans le partage du gâteau.»
-
PUMA : des dépassements de plus de 483 millions de francs CFA des salaires relevés par la Cour des Comptes
-
Présidence: Fatou Kiné Diakhaté, nommée Directrice cabinet adjointe du président de la République
-
Démarrage des rotations du BRT : le lancement de la mise en service progressive prévue ce mercredi 15 mai 2024 (CETUD)