Les députés de la 14e législature sont attendus en séance plénière ce lundi 2 septembre 2024. L'objet de cette convocation est axé sur l'examen du projet de loi n°11/2024 portant révision de la Constitution pour la dissolution du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil Economique Social et Environnementale (CESE).
Cette convocation marque un moment décisif pour l’avenir institutionnel du pays, avec en ligne de mire la suppression du Haut Conseil des Collectivités Territoriales et du Conseil Économique Social et Environnemental.
Cette réforme, discutée en séance plénière ce jeudi 29 août lors de l’ouverture de la deuxième session extraordinaire de l’année, a rassemblé 98 parlementaires. Selon le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, « la suppression de ces deux institutions budgétivores s’inscrit dans une démarche de réduction des dépenses publiques, une promesse de campagne destinée à alléger le train de vie de l’État ». Le budget annuel combiné du HCCT et du CESE avoisine en effet les 15 milliards de francs CFA, un coût jugé exorbitant par certains responsables politiques.
Créé en 2016, le HCCT est composé de 150 membres et a pour mission de donner un avis sur les politiques de décentralisation et de développement territorial. Quant au CESE, mis en place en 2012, il remplace l’ancien Conseil Économique et Social et réunit divers représentants de la société civile et du monde économique.
Cette convocation marque un moment décisif pour l’avenir institutionnel du pays, avec en ligne de mire la suppression du Haut Conseil des Collectivités Territoriales et du Conseil Économique Social et Environnemental.
Cette réforme, discutée en séance plénière ce jeudi 29 août lors de l’ouverture de la deuxième session extraordinaire de l’année, a rassemblé 98 parlementaires. Selon le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, « la suppression de ces deux institutions budgétivores s’inscrit dans une démarche de réduction des dépenses publiques, une promesse de campagne destinée à alléger le train de vie de l’État ». Le budget annuel combiné du HCCT et du CESE avoisine en effet les 15 milliards de francs CFA, un coût jugé exorbitant par certains responsables politiques.
Créé en 2016, le HCCT est composé de 150 membres et a pour mission de donner un avis sur les politiques de décentralisation et de développement territorial. Quant au CESE, mis en place en 2012, il remplace l’ancien Conseil Économique et Social et réunit divers représentants de la société civile et du monde économique.
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