ÉTATS-UNIS - Alors que son administration est - déjà - embourbée dans des scandales à répétition, Donald Trump contre-attaque sur Twitter. Et le président américain accuse son prédécesseur Barack Obama de l'avoir placé sur écoute avant sa victoire face à Hillary Clinton, le 8 novembre 2016.
"Le président Obama est tombé bien bas pour mettre mes téléphones sur écoutes durant une période d'élections sacrée. C'est Nixon/Watergate. Une personne malfaisante (ou malade)!", dénonce le milliardaire avec virulence. Une accusation proférée en plusieurs tweets, sans preuves ni détails, qui va sans doute provoquer une déflagration aux États-Unis.
Visiblement sûr de lui, il précise que les écoutes auraient eu lieu en octobre dernier, soit un mois avant le scrutin. Il a également menacé Barack Obama de prendre un avocat.
Contre-feu opportun
"Terrible! Je viens de découvrir que le président Obama avait mis mes lignes sur écoute dans la tour Trump juste avant ma victoire", a écrit Donald Trump, avant de lancer: "c'est du maccarthysme", en référence à la traque des militants et sympathisants communistes aux États-Unis dans les années 1950.
L'occasion pour le populiste d'allumer un contre-feu et de braquer le projecteurs ailleurs que sur ses difficultés. En effet, depuis quelques jours, deux membres de son cercle très proche sont englués dans des scandales éthiques. Jeff Sessions, son ministre de la Justice est notamment accusé d'avoir menti sous serment à propos des contacts passés avec l'ambassadeur russe aux Etats-Unis.
Mike Pence, son vice-président est quant à lui accusé d'avoir utilisé un compte personnel pour ses emails professionnels.
"Le président Obama est tombé bien bas pour mettre mes téléphones sur écoutes durant une période d'élections sacrée. C'est Nixon/Watergate. Une personne malfaisante (ou malade)!", dénonce le milliardaire avec virulence. Une accusation proférée en plusieurs tweets, sans preuves ni détails, qui va sans doute provoquer une déflagration aux États-Unis.
Visiblement sûr de lui, il précise que les écoutes auraient eu lieu en octobre dernier, soit un mois avant le scrutin. Il a également menacé Barack Obama de prendre un avocat.
Contre-feu opportun
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