
Une vidéo de Donald Trump, loin d'apaiser les tensions au Capitole, a été supprimée des réseaux sociaux.
La dernière vidéo de Donald Trump est officiellement invisible sur les réseaux sociaux car elle inciterait à la violence et diffuserait de fausses informations. Quand les émeutiers sont rentrés mercredi dans le Capitole, nombreux sont ceux à s'être dit : "Mais pourquoi Donald Trump n'intervient pas ?" Pour répondre à cela, il suffit de regarder le fil Twitter du président américain.
À 20h30, heures françaises, 14h30 sur la côte Est américaine, Trump diffuse des images de son discours enflammé devant ses supporters et dit qu'il ne se rendra pas. Une heure plus tard, il demande au calme devant les débordements et appelle à soutenir la police. Puis à 21h30 (heures françaises), il demande à nouveau le calme en rappelant que les Républicains représentent le parti de la loi et de l'ordre. Mais toujours pas de condamnation des violences.
Trois quarts d'heure plus tard, Donald Trump publie une nouvelle vidéo. Il commence par évoquer le mal-être de ses supporters puis explique à nouveau que cette élection a été volée. Ils demandent à ses fans de rentrer chez eux avant de reparler de scrutin truqué. Quand l'incendiaire joue au pompier avec lance-flammes…
Facebook, Twitter, Instagram et YouTube réduisent Trump au silence
Facebook a décidé de supprimer la vidéo présidentielle. Une première. Guy Rosen, vice-président de Facebook en charge de l'intégrité de la plateforme, explique : "Nous prenons des mesures d'urgence appropriées, y compris le retrait de la vidéo du président Trump, qui contribue au risque de violences au lieu de le diminuer."
La dernière vidéo de Donald Trump est officiellement invisible sur les réseaux sociaux car elle inciterait à la violence et diffuserait de fausses informations. Quand les émeutiers sont rentrés mercredi dans le Capitole, nombreux sont ceux à s'être dit : "Mais pourquoi Donald Trump n'intervient pas ?" Pour répondre à cela, il suffit de regarder le fil Twitter du président américain.
À 20h30, heures françaises, 14h30 sur la côte Est américaine, Trump diffuse des images de son discours enflammé devant ses supporters et dit qu'il ne se rendra pas. Une heure plus tard, il demande au calme devant les débordements et appelle à soutenir la police. Puis à 21h30 (heures françaises), il demande à nouveau le calme en rappelant que les Républicains représentent le parti de la loi et de l'ordre. Mais toujours pas de condamnation des violences.
Trois quarts d'heure plus tard, Donald Trump publie une nouvelle vidéo. Il commence par évoquer le mal-être de ses supporters puis explique à nouveau que cette élection a été volée. Ils demandent à ses fans de rentrer chez eux avant de reparler de scrutin truqué. Quand l'incendiaire joue au pompier avec lance-flammes…
Facebook, Twitter, Instagram et YouTube réduisent Trump au silence
Facebook a décidé de supprimer la vidéo présidentielle. Une première. Guy Rosen, vice-président de Facebook en charge de l'intégrité de la plateforme, explique : "Nous prenons des mesures d'urgence appropriées, y compris le retrait de la vidéo du président Trump, qui contribue au risque de violences au lieu de le diminuer."
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