Ce médicament avait déjà été essayé sur environ 80 sujets au centre de traitement de Guéckedou dans le sud du pays.
Après les résultats jugés concluants par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), ce médicament sera administré dans uniquement les centres de traitement.
Interrogé par la BBC, Yves Levi, le président de l’INSERM, a précisé que ‘’ce médicament qui s’administre par voie orale doit être donné par des médecins, des soignants à des heures très précises pour obtenir les résultats escomptés’’.
Toutefois, cet antiviral réduit la mortalité de moitié chez les adultes et adolescents présentant un faible taux de multiplication du virus, et accélère leur guérison, mais le médicament ne paraît pas avoir d'efficacité chez les malades ayant une charge virale plus élevée dans le sang.
L’OMS a annoncé, vendredi 6 février 2015, que la fièvre hémorragique avait fait 9.004 morts en Guinée, au Libéria et en Sierra, mais que toutes les données ne sont pas disponibles surtout au Libéria.
Le chemin pour parvenir à l’éradication complète de la maladie risque donc d’être encore long.
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