Des deux derniers cas suspects, un seul patient a été déclaré positif. Il a été admis dans une unité de soins intensifs. Il semble un peu affaibli mais il arrive à se tenir debout, selon une source médicale ; 310 personnes, qui à ce jour ne sont pas infectées, sont sous surveillance sanitaire. Elles le seront pendant trois semaines avant qu’un diagnostic définitif ne soit émis.
Le gouvernement malien multiplie les messages de prudence, les messages de sensibilisation. Pour les appuyer Margaret Chan, la directrice générale de l’Organisation mondiale de la Santé et Michel Sidibé, le numéro un de l’Onusida, sont arrivés à Bamako pour des rencontre avec les religieux, les officiels, le personnel de santé.
Tout faire pour éviter la propagation
L’objectif est le même: tout faire pour éviter au Mali la propagation du virus Ebola. C’est également dans ce cadre qu’une délégation officielle malienne se rendra en principe ce dimanche 23 novembre à la frontière guinéenne pour s’assurer sur place de l’efficacité du dispositif sanitaire installé.
C’est de la Guinée voisine que sont venus les deux malades qui ont contaminé des Maliens. Outre les deux Guinéens morts d’Ebola sur le territoire malien, cinq ressortissants maliens ont déjà été victimes de la même maladie.
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